L’agriculture doit être une des priorités des efforts de la reconstruction, selon l’ONG Oxfam
L’organisation internationale, Oxfam, a exhorté mardi les autorités haïtiennes à accorder une plus grande priorité aux investissements dans le secteur agricole dans le cadre du plan de reconstruction du pays.
Dans son nouveau rapport, Oxfam encourage les pays donateurs à financer le plan d’agriculture du gouvernement estimé à un montant de 772 millions de dollars.
Ces pays doivent aussi abandonner la politique commerciale consistant à subventionner certains produits de consommation dont le riz et à éliminer les barrières à l’exportation des produits haïtiens.
« Les images poignantes des maisons effondrées montrent à quel point la capitale et les villes avoisinantes sont frappées par le tremblement de terre. Cependant, elles n’informent pas quant aux effets du tremblement de terre sur les communautés rurales. Le séisme a eu des effets néfastes sur la production agricole, ce qui a affecté tout le pays où environ 60 % de la population vivaient dans l’insuffisance alimentaire, bien avant la catastrophe du 12 janvier », a dit Philippe Mathieu, directeur pays de Oxfam.
Dans un communiqué transmis à la presse, Oxfam appelle la communauté internationale à adopter une politique qui supporte le développement économique en Haïti. Par exemple, l’exonération des taxes sur les produits haïtiens qui entrent sur le marché américain serait l’une des mesures pouvant favoriser la lutte contre la pauvreté en Haïti.
« Il y a un paradoxe qu’il faut prendre en compte. Le riz importé des USA est subventionné et cela nuit aux producteurs haïtiens, parallèlement, le gouvernement américain investit dans le développement de la production nationale en Haïti. La communauté internationale doit abandonner ses politiques d’aide et de commerce contradictoires, dans l’objectif de supporter la croissance de l’économie rurale assez fragile en Haïti », a commenté Philippe Mathieu.
Le gouvernement haïtien a élaboré un projet d’agriculture ambitieux dans le cadre du plan de reconstruction du pays qui s’articule autour d’un montant de 772 millions de dollars. Il consiste à mettre l’emphase sur l’amélioration des infrastructures, l’augmentation de la production et l’amélioration de l’accès aux services en milieu rural. Pourtant, jusqu’à date, la communauté internationale n’a pas encore manifesté aucun intérêt à supporter ce plan.
Se sa ki te dwe fet avek tout agronome sa yo ki te sou pouvwa a.
yon bann je pete klere.
On ne travaille plus la terre car tous les travailleurs préfèrent venir à Port-au-prince à cause des négligences portées à leur ègard dans les villes de provinces. C’est trés important de promouvoir l’agriculture car pour se nourrir il faut la travailler. Mais aussi il faut tenir compte des autres paramètres car ils sont tous interreliés. Le développement passe en grande partie par ce qu’on peut produire, offrir etc… Faites vos jeux messieurs.
Parler de l’agriculture c’est bien.Mais est ce que l’on va enseigner a nos jeunes enfants a aimer le travail de la terre? A-t-on oublie que depuis longtemps,dans les salles de classe,on avait dit aux eleves que la culture de la terre est resevee aux habithants des mornes, de la campagne, pour ceux qui a l’ecole qui etaient incapables d’ecrire et de parler le francais, de resoudre les problmes de mathematiques?etc. Est ce que le gouvernement va exiger a tous les enseignants de faire un travail d’apprentisage pour que l’on apprenne a nos futurs citoyens a aimer l’agriculture car nous dependons d’elle comme nous dependons de loxigene. Est ce que l’on va enseigner a nos malheureux paysans qui vivent sans encadrement depuis 1804 comment planter leurs jardins en vue de divorcer avec les plantations marassa comme cela se voit depuis 1804. C’est honteux et malheureux de constater que tant de rivieres qui se gaspillent dans la Plaine du Nord, depuis la baie de l’Acul jusqu’a Ouanaminthe et il n’y a pas un systeme d’irrigation.De Quartier-Morin a Ouanaminthe, les terres sont vides les rivivieres se gaspillent a la mer, sans honte, nous sommes alles a Dajabon, pour nous procurer les produits que nous pouvons cultiver chez nous et que nous produisions autrefois.Pourquoi nos facultes d’agromie alor que hassisons l’agriculture.Regardez,la vallee de l’Artibonite ressemble plutot a un terrain de footbal alors le fleuve se gaspille a la mer. Si nous n’avons pas de techniciens chez nous pour nous aider a sortir de cette triste situation, s’il vous plait, avec toute cette somme d’agent pour l’agriculure 2010-2011,faites venir des techniciens du pays d’Israel pour nous apprendre comment creuser des aqueducs et l’on aura assez d’eau pour arroser et fertiliser nos terrains en
vue d’une meilleure production agricole et l’on pourra reduire le taux croissant d’enfants et de familles mal nourris dans ce pays que nous aimons tant. Merci.Duvivier project heureux dobtenir une assistance de cette en faveur Haiti