Les titres de l’actualité sur Vision 2000

Les dernières déclarations de Jacques Edouard Alexis sont  prises très au sérieux au niveau de la Commission nationale de désarmement, démobilisation et réinsertion. Une enquête est ouverte sur le dossier et le candidat du MPH sera consulté dans le cadre de cette investigation, a fait savoir le responsable de la CNDDR.

Nouvelle rencontre ce jeudi entre le Conseil électoral provisoire (CEP), les partis politiques et les candidats. Le Conseil électoral entendait présenter l’état d’avancement du processus électoral. Les participants ont eu le droit à des exercices de simulation sur le fonctionnement d’un bureau de vote et du Centre de tabulation.

Plus de 200 candidats et représentants de partis et regroupements politiques ont pris part à cette réunion de travail. La plupart d’entre eux continuent d’afficher une certaine méfiance vis-à-vis de l’actuel CEP. Néanmoins, ils promettent d’aller jusqu’au bout dans le processus.

L’action publique pourra être mise en mouvement contre Olicier Pierriche. Ecarté de la course électorale, ce dernier a décidé de placer des affiches et posters dans plusieurs endroits de la capitale notamment. Un comportement qualifié de délinquant par le directeur général du CEP, Pierre-Louis Opont.

Il ne reste que la somme de 1 millions de dollars à trouver pour compléter le budget des élections. Le Japon vient de contribuer à hauteur de 1,5 million. C’est ce qu’ont annoncé les responsables électoraux, ce jeudi.

De nouvelles flèches de Alix Fils-Aimé en direction des ONG et de la MINUSTAH. Ces organisations et institutions ne font qu’exploiter la crise haïtienne à leur profit, a martelé le président de la CNDDR. M. Fils-Aimé plaide pour des solutions haïtiennes aux malheurs haïtiens.

Dossier de trois étudiants expulsés de la Faculté d’Ethnologie. Un groupe d’étudiants, professeurs et employés de l’Université municipale de New York leur apportent leur plein soutien. Dans une pétition adressée aux responsables de la Faculté, les 92 signataires réclament la réintégration pur et simple de ces trois étudiants sanctionnés pour avoir agressé physiquement le vice-doyen de la Faculté d’Ethnologie, Jean-Yves Blot.[rv2000]