Haïti : Poursuites des négociations en vue de la désignation d’un nouveau premier ministre
Le président du Sénat, Jean Rodolphe Joazile, informe avoir rencontré le chef de l’Etat autour du choix d’un nouveau premier ministre.
Aucun nom n’a été cité au cours de cette rencontre avec Michel Martelly, précise le sénateur Joazile pour qui le nouveau candidat à la Primature devrait être un facilitateur, un homme intègre, honnête et un rassembleur dont le programme de gouvernent tiendra compte des revendications réelles de la population.
Le président de la République, Michel Martelly doit dégager une majorité au niveau des deux chambres pour éviter un troisième échec, fait savoir le président de l’Assemblée nationale, ajoutant que le Parlement représente le haut lieu de débats contradictoires et une assemblée politique.
Cette fois-ci, j’espere que soit la bonne
Bann mafias inite-lavalas yo kembe pays ya otaj.
Matelly a vie! Se sitwayen pi serye ki gen nan peyi. Li pa renmen lajan ditou, li te ve de pauvrete, se yon vre leader ki gen anpil konesans.
Vive alphabetisation. Vive scolarisation en haiti.
On parle d’un nouveau Premier ministre comme si on parlait de l’arrivée du Messie. Qu’est-ce qui va se passer avec le prochain gouvernement ? Rien !. Je suis certain qu’il ne se passera rien, sinon certaines petites choses ! Le programme Education pour tous va être une dérive politique. Education gratuite pour un bulletin de vote jusqu’à ce qu’il vienne à éclater le scandale de l’ère Martelly. Le problème, c’est qu’on rêve trop grand. On rêve de gratte-ciel en Haïti, dans toutes les rues. Des quartiers de millionnaires partout ! Et pourtant, si on savait ! On peut faire notre petite révolution-évolution. Pourquoi des corns flakes importés alors qu’on cultive le maïs en Haïti ? Pourquoi l’huile importée alors qu’on cultive le maïs ? Pourquoi du sucre importé alors qu’on peut cultiver la canne à sucre ? Pourquoi importer du lait alors qu’on a nos vaches ? Essayons d’équilibrer notre balance commerciale pour le bonheur de tous. Michel Martelly chantait, il y a seize ans : « Nou brote diri » (tube I don’t care) Assurément, ce riz était importé des Etats-Unis. Coup dur à l’agriculture locale. Aujourd’hui, c’est lui qui se fait le porte-parole des paysans à travers son parti « Repons peyzan » ! Parfois, j’ai l’impression d’assister à une scène à la Jésifra.
On parle d’un nouveau Premier ministre comme si on parlait de l’arrivée du Messie. Qu’est-ce qui va se passer avec le prochain gouvernement ? Rien ! Je suis certain qu’il ne se passera rien, sinon certaines petites choses ! Le programme Education pour tous va être une dérive politique. Education gratuite pour un bulletin de vote jusqu’à ce qu’il vienne à éclater le scandale de l’ère Martelly. Le problème, c’est qu’on rêve trop grand. On rêve de gratte-ciel en Haïti, dans toutes les rues. Des quartiers de millionnaires partout ! Et pourtant, si on savait ! On peut faire notre petite révolution-évolution. Pourquoi des corns flakes importés alors qu’on cultive le maïs en Haïti ? Pourquoi l’huile importée alors qu’on cultive le maïs ? Pourquoi du sucre importé alors qu’on peut cultiver la canne à sucre ? Pourquoi importer du lait alors qu’on a nos vaches ? Essayons d’équilibrer notre balance commerciale pour le bonheur de tous. Michel Martelly chantait, il y a seize ans : « Nou brote diri » (tube I don’t care). Assurément, ce riz était importé des Etats-Unis. Coup dur à l’agriculture locale. Aujourd’hui, c’est lui qui se fait le porte-parole des paysans à travers son parti « Repons peyzan » ! Parfois, j’ai l’impression d’assister à une scène à la Jésifra
la se pito pou menm Antoine kap reve sotiz ki pap menen w pyes kote ke fe moun kap panse kontinuer pran w pou sa w pa reelman ye , si w ka ekri tout bagay sa yo byen konsa se paske vaut kichoy men suspann desann tet ou konsa non, bay moun le pou yo li espoir pou peyi a, ok m panse ke gen lot bagay ki kap fe plus sans ou ka ekri la bay fout peyi yon chans atord non
nous parle d’honetete en faisant payer a lnotre diaspora la honteuse taxe sur l’education.en faisant payer nos pauvres explotes la bas au pays,1500$ par heure la location d’un avion de promenade de sa majeste Micky.maintenant ,on espere les chanbres de la republique ratifier comme PREMIER SINISTRE de immoraux comme en exemple un des membres sans vergogne du cabinet d’avocat le plus mafieux du pays.En fait,je peux aujourd’hui repprendre les mots d,un de mes proffesseurs
suite:le nom de de ce professeur est Lucien Jabouin q BIMEui preconisait au sujet du pays:(CELA VA DE BIME EN BIME,JUSQU’L’ABIME FINAL .————————————————————–le cayen.-
Mon cher Antoine,
je ne voudrais pas comme toi jouer les prophetes de malheur, cependant tu as tout a fait raison. Dans le passe, nous avons fait l’experience de gens qui avaient tout le bagage et le savoir faire pour sortir notre pays de cette » Boue » (reference Washington Post, dans laquelle elle se vautre. Et pourtant …Certes la venue d’ un nouveau gouvernement (nous le souhaitons tous) permettra a certains projets de prendre corps, mais qu’est ce qui va vraiment changer dans le quotidien des haitiens? Et ce ne sont surement pas les thuriferaires (souflantchou) qui gravitent autour du president, encore moins ceux la qui vantent ses qualites sur ce forum qui vont faire avencer le pays.
Willio, Toto, un ancien porte parole de la police, le dernier ministre de la culture sous Aristide ont appris a leurs depens ce que cela veut dire faire exces de zele. Ils se sont tous fait couyonner par ceux la qu’ils defendaient du BEC
pouki tout pale sa yo,pouki nou pa mete tet nou ansanm pou peyi kapab develope,sispan voye monte,li pap minnin nou okinn kote. nou pa we peyi se antre lap antre pi fon nan mize…..
La vérité blesse toujours, quand les propos ne vont pas toujours dans le sens que souhaite les canaliser, c’est du VOYE MONTE, depuis 25 ans toutes les chapelles politiques récitent cet élement du Bréviaire qui nous a été imposé: « An Met tet nou ansam ». l’expérience de notre expérience démocratique est la suivante:
Tet Ansamm = J’agis, je parle et vous suivez…
lè yo bail on makak on po fig, li rele kek makak pareil li pou di yo bagail la bon