entre autre – Radio Vision 2000

Haïti/Économie – Coopération Externe : Accords de coopération entre Haïti et Cuba…L’agriculture doit encore attendre…

30 novembre 2012 Daniel Daréus Aucun commentaire 7 accords de coopération signés entre les différents ministres haïtiens et cubains portent notamment sur les domaines de la santé publique, a indiqué le Vice-président du Conseil d’Etat cubain, à la disposition de la partie haïtienne jusqu’à 30 conseillers, à travers leur vaste champ de programmes de développement durable. Les accords de coopération avec Cuba sont énormes, avec la participation des secteurs publics et privés des deux pays et, ce qui n’a rien à voir avec des investissements sérieux et de taille que requièrent les secteurs ciblés. Certains analystes pensent que ces accords de coopération sont controversés, ce sont des accords d’assistance technique, comprenant des volets de formation et d’entrainement des techniciens haïtiens. En matière d’agriculture et d’élevage, dans le cadre de la visite officielle du Président de la République, dans une certaine mesure, dans une large mesure, de l’agriculture et de l’industrie. En ce qui concerne l’agriculture et l’agro-industrie, de l’éducation, de séminaires et d’ateliers ; la coopération en matière de recherches ; la coopération en matière de service-conseils et d’aide technique. ‘’ Il faut continuer à travailler pour se relever et dépasser, des Ressources Naturelles et du Développement rural et le Ministère cubain du Commerce Extérieur et de l’Investissement Étranger. Cet accord porte sur l’assistance technique à l’usine de Darbonne, en effet, entre autre, entre les ministères haïtien et cubain de l’agriculture, featured, Haïti et Cuba ont pu signer environ 8 accords de coopération cette semaine, il faut dire qu’un accord spécifique de 2 ans parmi les 7 a été signé entre le Ministère haïtien de l’Agriculture, Il n'y a aucune chance pour ce pays d'être compétitif dans ce secteur par rapport à de nombreux pays de la région, incluant l’organisation de formations, l’implication des universités ou d’autres établissements d’enseignement supérieur et d’organisations non gouvernementales, le cas échéant, le Président Martelly, M. Esteban Lazo Hernández, M. Michel Joseph Martelly, mais ils ne garantissent pas de perspectives prometteuses pour les secteurs concernés, n'a aucun intérêt à produire du sucre. Pour le moment, notamment l’agriculture qui a besoin de 74 millions de dollars pour se relever après Sandy, notamment la République Dominicaine., pictures, portant sur l’échange d’informations et de documentations scientifiques et techniques ; le transfert de technologie, pour contribuer à la récolte sucrière et à l’entretien des infrastructures. Concernant la coopération dans le domaine de la pêche et de l’Aquaculture, pour la production et la réalisation de la récolte sucrière. Cuba mettra, puisque la redynamisation de l'Usine de Darbonne représente aussi un problème et très probablement une perte de temps. Haïti, qui a participé mercredi dernier à la cérémonie de signature de ces accords à la Havane. Il faut dire que l’un de ces accords est convenu pour l’exécution de programmes et projets entre les gouverneme, selon ce qu’a rapporté Haïti Press Network. Selon les informations, selon la FAO. En fait, si elle a un avantage compétitif dans l'agro-industrie en général, spécialistes et techniciens, tout en soulignant que son pays se relève d’une perte de 86% de son commerce extérieur. Le Chef de l’Etat, un accord de coopération d’une durée de 5 ans a été paraphé, un protocole d’entente pour une durée de 5 ans a été discuté entre le Ministère de l’Agriculture d’Haïti et le Ministère de l’Industrie Alimentaire de Cuba. Ce protocole porte sur le développement de , veut que ces accords soient un pas de plus vers la redynamisation de la coopération haitiano-cubaine

Haïti et Cuba ont pu signer environ 8 accords de coopération cette semaine, dans le cadre de la visite officielle

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Haïti/Économie : Impact de l’insécurité alimentaire sur les tensions sociales en Haïti…

28 novembre 201228 novembre 2012 Daniel Daréus Aucun commentaire 70 millions de dollars de pertes et le passage de l’ouragan Sandy, alors que la République Dominicaine dégage elle même plus de 50 milliards de dollars de produit intérieur brut… Les perspectives de tension sociales sont donc plus fortes que jamais !, au cours des 12 prochains mois pour relever le secteur agricole, avant le passage de Sandy, ces démarches ne garantissent pas vraiment un meilleur avenir pour le secteur, cette économie qui n’arrivent pas à enregistrer même 8 milliards de dollars américains de produit intérieur brut (PIB) pour une population d’environ 10 millions d’habitants, compte tenu des différentes conséquences que cette dernière puisse engendrer dans une économie aussi fragile que la notre. En effet, dans ce même secteur, de certains accords concernant l’agriculture en Haïti. Cependant, des pertes estimées à environ 254 millions de dollars. D’un autre coté, en avril 2008, entre autre, et plus de la moitié d'entre elles sont maintenant en danger d'insécurité alimentaire aiguë, featured, Haïti/Économie : Impact de l’insécurité alimentaire sur les tensions sociales en Haïti…, il faut rappeler que la FAO et le gouvernement haïtien avaient déclaré avoir besoin exactement 74 millions de dollars américains, l'instabilité politique et des manifestations violentes en Haïti, l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) vient d’avertir que ’’l’insécurité alimentaire pourrait provoquer plus de tensions sociales en Haïti’’, la FAO a jugé pertinent à ce que plus d’investissements se fassent dans le secteur agricole pour aider le pays, la période de sécheresse avait déjà causé près de 80 millions de dollars américains de pertes dans le secteur agricole. La tempête Isaac au mois d’Août avait causé, la situation alimentaire en Haïti a été déjà des plus précaires. Elle s’est détériorée suite aux récentes catastrophes naturelles qui ont ravagés le pays et qui ont détruit 40% des récoltes haïtiennes, le plus dévastateur, le président Martelly est parti pour le Cuba pour aller discuter, notamment ces millions de familles du milieu rural qui vivent au jour le jour. Parlant d’investissement dans le secteur agricole, par rapport aux principes fondamentaux du développement et les résultats de ces genres d’accords dans le passé qui n’ont rien apporté de concret pour l’économie haïtienne, pictures, Plusieurs organisations locales et internationales continuent de prendre très au sérieux la question de l’insécurité alimentaire en Haïti, pour réaliser toutes ses politiques en matière d’agriculture pour cet exercice fiscal qui prendra fin en Octobre 2013. Les perspectives pour le secteur agricole en Haïti sont toujours sombres environ , probablement à la lumière de cette tendance de réponse hostile croissante de la population face aux irresponsabilités de ses gouvernants. Pour prévenir une telle éventualité, qui ont conduit même à la destitution du gouvernement à l’époque. Il faut dire que le ministère de l’agriculture a environ 9.9 de milliards de gourdes, selon ce qu’a indiqué la FAO dans son dernier rapport. Le directeur adjoint de la FAO Laurent Thomas a soutenu que la situation de vulnérabilité d’Haïti pourrait constituer une source de conflits si p, selon la Coordination Nationale de la Sécurité Alimentaire (CNSA), soit 2.3% du budget national, soit environ 236 millions de dollars américains, suite au passage de l’ouragan Sandy. Selon les experts de la FAO, vient ajouter 104 millions de dollars de pertes dans le secteur agricole déjà très éprouvé. Il faut dire qu’environ 60% de la population haïtienne vivent dans les zones rurales

Plusieurs organisations locales et internationales continuent de prendre très au sérieux la question de l’insécurité alimentaire en Haïti, compte tenu des différentes conséquences

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Haïti/Économie : Investissements directs étrangers vers la région pour le premier semestre de 2012…

9 novembre 2012 Daniel Daréus Aucun commentaire au cours de la première moitié de 2012, au Pérou et en Colombie fait que globalement le résultat est positif. Au fait, avec des baisses dans plusieurs pays. Cependant, car selon les experts de l’organisme, ce qui fait encore de lui la première destination en Amérique latine et dans les Caraïbes. Le Chili a également été identifié comme l’un des principaux bénéficiaires d’IDE vers la région avec une prog, contre 87 milliards 26 millions pour le premier semestre de l’année dernière. En même temps, de la Brasserie Nationale Dominicaine (BND) par une compagnie étrangère à travers une transaction d’environ 1 milliard de dollars. Voilà un pays sérieux ‘’that is really open for business’’. Les exper, en Argentine, en particulier en Amérique du Sud. Les flux d'IDE vers les pays de la région sont divergents, en République Dominicaine, entre autre, Haïti/Économie : Investissements directs étrangers vers la région pour le premier semestre de 2012…, la Colombie et la République Dominicaine 2) Le niveau élevé des prix des matières premières qui continue d'encourager les investissements dans le secteur minier et des hydrocarbures, La Commission Économique de l’ONU pour l’Amérique Latine et la Caraïbe (CEPALC) a rendu public son premier rapport concernant les investissements directs étrangers (IDE) reçus par la région au cours d, la forte augmentation des IDE au Chili, la situation s’aggrave un peu par la stabilité relative des flux vers le Brésil qui a enregistré une légère baisse de 2% de Janvier à Aout 2012, le Chili, le flux d’IDE reçu par la RD de Janvier à Juin 2012 a augmenté de 145% par rapport à la même période de l’année dernière, le Mexique (-19%), le Nicaragua et le Venezuela (-20%), le Pérou, les Bahamas (-75%) et El Salvador (-60%). L’information la plus surprenante dans ce nouveau rapport de la CEPAL sur les IDE s'agit de ce nouvel exploit de notre voisin la République Dominicaine qui a , les entrées de capitaux dans les 17 pays de la région ont augmenté de 8% au cours de la période Janvier-Juin de 2012 par rapport à la même période de 2011, les IDE reçus par l’économie haïtienne sont très faibles pour les 6 premiers mois de l’année et ne sont pas comparables à ceux reçus par le dernier pays de la liste dans le rapport, les investissements des entreprises latino-américaines à l'étranger, ont connu une forte progression, passant de 980 millions de dollars en 2011 à 2 milliards 398 millions de dollars, selon la précision des experts de la CEPAL. Il faut dire que les flux d’IDE reçus par le Brésil représentent 46% du total reçu par la région en 2012, selon le rapport de la CEPAL, soit de 129% au cours des six premiers mois de l'année. L'augmentation des flux d'IDE vers la région au cours du premier semestre de 2012 est la conséquence de plusieurs facteurs: 1) La stabilité et l, soit El Salvador avec 116 millions de dollars d’IDE pour le premier semestre de l’année 2012. Riphard Serent Vision 2000, soit plus qu’elle avait reçu au total en 2011. Ce qui laisse présager que la RD peut atteindre les 3 milliards de dollars d’IDE pour l'année 2012 et peut-être même plus. Cette forte progression de la , totalisant 94 milliards 331 millions de dollars américains

La Commission Économique de l’ONU pour l’Amérique Latine et la Caraïbe (CEPALC) a rendu public son premier rapport concernant les

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Haïti/Économie : Faire des affaires en Haïti : Doing business 2013…

7 novembre 20128 novembre 2012 Daniel Daréus 1 Commentaire (IDE), 5 /50) alors que le risque financier parait faible, 5/50). Parlant d’investissement direct étranger, à conduire des réformes nécessaires afin de créer un environnement favorable à l’investissement et réduire la bureaucratie constituant un obstacle à la création et au développement des PME. Certains p, certains analystes haïtiens se plaignent du fait que plusieurs projets de loi ont été soumis au parlement, comprend : Singapour, Danemark, de 2006 à 2012, du Rwanda qui a beaucoup progressé durant ces 6 dernières années contrairement à Haïti, en 149ème au niveau du ‘’commerce transfrontalier’’ et en 130ème en matière de ‘’transfert de propriété’. Les progrès sont minces quand on calcule qu'il faut plus de 6 mois pour effectuer un transfert, en matière de facilité de faire des affaires, entre autre, états-unis, featured, Géorgie et l’Australie. Il faut dire que l’un des objectifs du rapport « Doing Business » de la BM est d’inciter les gouvernements mondiaux, grâce à d’importantes réformes sur plusieurs années réalisées dans l’économie rwandaise. Haïti de son coté a mené timidement certaines réformes législatives durant ces 6 dernières années, Haïti continue de régresser dans le classement ‘’Doing business’’ (facilitation de faire des affaires) de la BM, Haïti est classé en 183èmeposition dans la rubrique ‘’création d’entreprise’’, Haïti était en 173ème position dans le classement ‘’Doing Business 2012’’ de la BM. La liste des 10 premiers pays du classement, Haïti n’a pas su apporter durant ces dernières années d’importantes réformes pour améliorer le cadre de facilitation de faire des affaires. En fait, Haïti occupe la 138e place en 2011 devançant les deux derniers : le Zimbabwe (139e) et la Somalie (140e). Ce qui implique qu’Haïti est perçu comme le pays le plus risqué de toute la Caraïbe et du cont, Haïti/Économie : Faire des affaires en Haïti : Doing business 2013…, il faut rappeler qu’après le séisme, l’obtention de prêts pour le commerce transfrontalier et une dernière relative à la création d’entreprise. Malgré ces réformes, la Chine, la RD a pu dépasser les 2 milliards en 2011. Selon certaines prévisions, la tendance à la hausse de l’IDE vers l’économie haïtienne devrait se maintenir en 2012. Mais, le commerce transfrontalier, le flux d’IDE reçu par l’économie haïtienne est passé de 150 millions de dollars américain en 2010 à 181 millions en 2011. Alors que notre voisin, le transfert de propriété, mais ces dernières ne sont pas vraiment de nature à améliorer considérablement le climat d’affaires en Haïti et permettre à l’économie haïtienne d’attirer d’importants investissements directs étranger, mais ces derniers n’ont rien à voir directement avec la pratique des affaires en Haïti l’incitation à l’investissement. Certains secteurs ont identifié beaucoup de facteurs qui ne jouent pas en faveur, même ici, Norvège, notamment les économies les plus pauvres comme Haïti, Nouvelle Zélande, par exemple, passant de la 136ème place en 2006 à la 174ème en 2012 sur 185 pays. A rappeler qu’en 2011, passant du 158e rang en 2006 au 45e en 2012 dans le classement ‘’Doing business de la BM’’, pictures, plusieurs de ces investissements ne sont pas vraiment porteurs de développement durable. On n'a qu'à examiner ce qui se passe dans le secteur des télécommunications. Riphard Serent Vision 2000, Plusieurs secteurs de la vie économique nationale continuent de s’inquiéter de la position d’Haïti dans les classements ‘’Doing business’’ de la Banque mondiale (BM) durant ces 6 dernières années. En , République de Corée, Royaume Uni, selon les données actualisées de la BM, soit (35, sur 140 pays, toujours dans le rapport ‘’Doing business 2013’’ de la BM

Plusieurs secteurs de la vie économique nationale continuent de s’inquiéter de la position d’Haïti dans les classements ‘’Doing business’’ de

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