FASCH : reprise des activités sous surveillance policière

Source Cluford Dubois | Le National

Après 11 mois de dysfonctionnement, les responsables de la faculté des Sciences humaines (FASCH), ont procédé, le jeudi 25 janvier, à la réouverture officielle de la faculté. Des agents de police, placés au sein de la faculté suite à la décision du Conseil de l’université (CU), ont facilité le bon déroulement de la première journée d’enregistrement.

Ordinairement ouverte, la barrière principale de la FASCH reste fermée durant la première journée du processus de choix de cours. Depuis la décision du Conseil de l’université, pour pénétrer l’espace, il faut présenter une pièce d’identité. Un backup de policiers du Corps d’intervention et de maintien d’ordre (CIMO), avec au moins une dizaine d’agents, équipés de bâton, arme à feu et de grenades lacrymogènes étaient sur les lieux pour sécuriser l’espace.

Comme c’est le cas dans plusieurs autres entités de l’UEH, la présence des policiers au sein de la FASCH ne fait pas l’unanimité. Parmi les centaines d’étudiants présents soit pour se faire inscrire au cours ou du moins pour retirer leurs cartes d’étudiants, on pouvait lire, notamment à partir de leur registre de discussions, des airs de soulagement et de frustration. À présent, deux groupes d’étudiants existent au sein de la FASCH. Un groupe pro et un groupe contre la présence des agents de police à l’intérieur de l’espace.

Mikenton Jean, étudiant en tronc commun, se dit pour la réouverture de la FASH. Car, avance-t-il, une vingtaine d’étudiants ne peuvent pas empêcher à toute une population d’effectuer leurs études et réaliser leurs rêves. Pourtant, il dénonce la présence des policiers au sein de l’espace. Selon lui, ce n’est pas du tout la meilleure des solutions devant faciliter le fonctionnement de la FASCH. Il a poursuivi pour expliquer……………………………..lire la suite sur lenational.org

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