Haïti-Elections : crise électorale en Haïti, Michel Martelly appelle à l’aide de l’OEA

Source hpnhaiti.com

L’organisation des Etats américains (OEA) a approuvé, le mercredi 27 janvier, la demande d’envoi d’une mission spéciale en Haïti formulée par le président Michel Martelly. En effet, cette mission que le chef de l’Etat haïtien sollicite de l’OEA en urgence aura pour tâche d’aider les acteurs politiques haïtiens à trouver une entente en vue de la poursuite du processus électoral.

Par cette démarche, Michel Martelly  entend empêcher que le pays tombe dans un vide institutionnel le 7 février prochain a expliqué l’ambassadeur haïtien à l’OEA, Bocchit Edmond.

Par ailleurs, ce dernier a précisé que la sollicitation du président Martelly n’est pas lire la suite sur hpnhaiti.com

2 pensées sur “Haïti-Elections : crise électorale en Haïti, Michel Martelly appelle à l’aide de l’OEA

  • 28 janvier 2016 à 2:41
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    Déjà vu!!! Michel Martelly et ses conseillés montrent une fois encore à quel point ils sont bêtes. René Préval a fait la même chose, tout le monde a vu ce qui s’est passé. Faire appel à quel arbitre?? L’OEA?? Martelly est mal placé pour demander l’arbitrage et l’OEA n’est pas digne d’être l’arbitre. Haiti ne devrait pas être membre de l’OEA, car être membre de cette organisation bidon, c’est comme enfoncer les doigts dans ses propres yeux. On n’a pas besoin de l’OEA une autre fois encore pour intervenir dans les problèmes d’Haiti parce que ce sont les patrons de ces coquins qui ont tout fait depuis toujours pour mettre Haiti dans le merdier dont il se trouve. Ces véreux qui représentent la vraie menace pour la planète.

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  • 28 janvier 2016 à 3:04
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    Et la lutte continue!
    Dans toutes les luttes, on peut perdre des batailles, mais cela ne veut pas dire qu’on perd la bataille ou qu’on doit arrêter de lutter. On peut comprendre Valéry Numa, quand il fait référence à tous ceux qui sont morts pour rien, des répétitions de incessantes des mêmes erreurs… mais on doit continuer à lutter et même à mourir pour ce pays, Mme Roy a raison en ce sens. Toutefois, les stratégies doivent être révisées.

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