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Des dirigeants de partis politiques se prononcent contre la décision du président Michel Martelly de convoquer le peuple en ses comices. Evans Paul de la KID, Victor Benoit de la Fusion et Serge Jean Louis du MOPOD y voient une décision hâtive, les amendements à la loi électorale de 2013 n’étant pas encore entérinés par le Sénat alors que les problèmes liés à la mise en place d’un CEP inspirant confiance, reste entier.

Le porte-parole du premier ministre Laurent Lamothe se félicite de la décision du président Michel Martelly de convoquer le peuple en ses comices. Michel Brunache donne la garantie que dans les prochaines heures, le CEP actuellement privé de deux de ses membres, affichera complet.

Au niveau du parlement, députés et sénateurs continuent de se concerter en vue d’arriver à un consensus final sur le choix de leurs trois représentants au CEP, selon ce qu’a indiqué ce mercredi, le président de la chambre basse Stevenson Jacques Timoléon. Les législateurs doivent choisir sur une liste de 5 noms dont ceux de Max Mathurin qui est en position de force et Yolette Mengual, pour remplacer Marie Clunie Dumay Miracle.

Le RNDDH par le biais de son directeur exécutif désapprouve la décision de Michel Martelly de convoquer le peuple en ses comices en dépit du fait que la question de la mise en place du conseil électoral ne soit toujours pas réglée. Estimant que l’Exécutif est sur une très mauvaise pente, Pierre Espérance appelle le président Martelly à faire montre de respect envers la constitution et à favoriser la mise en place d’un CEP qui inspire confiance à tous les acteurs.

Même réaction de la part de l’Ati national Max Beauvoir qui insiste sur la nécessité que le CEP soit équilibré et crédible. Question d’éviter que le pays ne plonge dans le chaos après les élections, conseille t-il.

Un atelier de trois jours sur le traitement des plaintes pour viol dans la chaine pénale haïtienne s’est ouvert ce matin à l’école de la magistrature, à frères, Pétion-Ville. Une initiative du ministère de la justice et de la section des droits humains de la MINUSTAH dans l’optique de fournir aux participants les outils nécessaires afin de mieux traiter les dossiers de viol dans leurs juridictions respectives.

En dépit des controverses suscitées par les opérations de démolition au centre-ville, le processus se poursuivra selon le secrétaire d’état aux finances. Ronald Décembre est clair : aucune considération pour les personnes expropriées dont les dossiers sont incomplets.

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