Montréal, hôte d’un colloque sur la reconstruction d’Haïti

p1050075 Des personnalités du gouvernement haïtien doivent participer, les 4 et 5 mars 2010, à Montréal, à un colloque sur la reconstruction d’Haïti, dont la capitale a été dévastée par un puissant séisme le 12 janvier dernier.

La délégation haïtienne sera présidée par le premier ministre Jean-Max Bellerive accompagné de Jean-Marie Claude Germain (Ministre de l’Environnement), Edwin Paraison (Ministre des Haïtiens vivant à l’étranger), Michel Péan (Secrétaire d’Etat aux handicapés) et Michel Chancy (Secrétaire d’Etat à la production animale).

« Reconstruire Haïti – Horizon 2030 » est le thème retenu pour la tenue de ces assises, une initiative d’une vingtaine d’organismes et de personnalités de la communauté haïtienne du Québec.

Ces organismes et personnalités sont à l’origine du « Groupe de réflexion et d’action pour une Haïti nouvelle » (GRAHN), mis en place à la suite du tremblement de terre.

Ce colloque, qui doit se tenir à l’Ecole Polytechnique de Montréal, est coordonné par Jean-Marie Bourjolly (professeur à l’Ecole des sciences de la gestion à l’Université du Québec à Montréal, UQAM), Maxime Dehoux (ingénieur à la retraite et ancien gestionnaire de grands projets d’ingénierie à SNC-Lavalin), Kerlande Mibel (présidente de la Jeune chambre de commerce haïtienne de Montréal), Yvon Mouscardy (ingénieur et expert-conseil en gestion de grands projets d’infrastructure), Samuel Pierre (professeur de génie informatique et génie logiciel à l’Ecole Polytechnique), Pierre Toussaint (professeur en sciences de l’éducation à l’UQAM).

« Formuler des propositions concrètes aux instances concernées par la reconstruction d’Haïti » est le principal objectif de ce groupe, selon un communiqué parvenu à Radio Vision 2000.

Ces propositions, poursuit le communiqué, seront basées sur des réflexions menées selon une approche participative, en mettant à contribution les expertises et sensibilités disponibles tant à l’intérieur qu’à l’extérieur d’Haïti. [dol/rv2000]

Une pensée sur “Montréal, hôte d’un colloque sur la reconstruction d’Haïti

  • 3 mars 2010 à 7:43 PM
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    Je souhaite que cette rencontre va apporter du fruit et que ces messieurs ecoutent bien tous les bons conseils et les mettent en pratique.Notre peuple en a beaucoup et assez de leur souffrance.Il ne peut pas contunier a vivre dans une situation pareille.
    Conjugons nos efforts pour aider nos freres et soeurs en Haiti.
    JP

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  • 4 mars 2010 à 6:26 PM
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    Je n’ai pas d’attente en ce qui concerne ce colloque. Ce sera le ennieme(m pa fouti konte) du genre en 20 ans, et les retombes se font toujours attendre en Haiti.
    Yo lot chita, bay lanmen ak akolad, pale, manje, bwe ak belsouri an plis? Oubyen ap gen yon bagay serye ki pral pase? Papa bondje!
    ALA TRAKA SAW KO WE.

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  • 28 mars 2010 à 6:32 AM
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    .Pourquoi ne pas avoir confié ce mandat à des gens qui parlent la langue de l’Haïtien plutôt que de confier cette tâche à des gens qui ne peuvent communiquer avec les «indigènes». Pourtant il y a près de «7» millions de Québécois qui parlent la langue de ces gens et plus de 60 millions de Français qui peuvent agir aussi biensinon mieux que les Étatsuniens qui organisent le monde dans le désordre le plus complet. Ce n’est pas parce qu’ils sont près , géographiquement de «Haïti»,qu’on doit confier ce mandat à Bill Clinton qui ne pourra comuniquer avec ces gens. Lorsque nous disons que les Anglo-saxons veulent voir disparaître l’influience du français dans l’espace américain et dans le monde, il n’y a pas de moyen plus efficace que celui de prendre toute la place dans tous les domaines de la vie des peuples.L’exemple d’Haïti» en est le parfait modèle

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