Haïti/Diplomatie d’Affaires : Lamothe à l’affût d’une marque Haïtienne
Selon une note émanant du Bureau de communication de la Primature, le Premier ministre, Laurent Salvador Lamothe entend faire un plaidoyer pour « une marque haïtienne », lors d’une réunion tenue New-York, le jeudi 27 septembre 2012, à la Clinton Foundation par le Conseil Consultatif Présidentiel pour le Développement Economique et l’Investissement (CCPDEI/PACEGI). Aussi s’engage-t-il à attirer les investissements directs étrangers et ceux de la diaspora haïtienne.
En effet, le chef du gouvernement haïtien a mis en relief les multiples potentialités d’Haïti sans omettre quelques lacunes dans certains domaines. Aussi, invite-t-il les hommes d’affaires à venir investir dans un pays qui est en passe de faire peau neuve.
« Certes nous faisons face à des difficultés de toutes sortes, mais cela ne nous a pas empêchés de lancer une enquête générale pour identifier les entreprises. Nous sommes sur le point de réviser la législation du commerce électronique et le rendre plus attractif » a-t-il expliqué.
Co-présidé par l’homme d’affaires haïtien, Grégory Mevs et l’ancien Président américain, William J. Clinton, lancé le 8 septembre dernier, ledit conseil a pour mission de promouvoir les investissements directs en Haïti, promouvoir l’image «Haïti», de conseiller le Président sur les initiatives politiques et stratégiques en vue de créer des emplois durables.
Cette réunion marque en effet, une étape importante dans les efforts de l’équipe Martelly/Lamothe et de la table ronde pour la promotion des investissements de même que les initiatives stratégiques en faveur d’Haïti.
Men li se bel bagay se paske li se yon minis ki gen vision ki fe se jan de oportunite sa yo li al chache pou nou.
An nou travay pou n bay Ayiti yon lot imaj an nou sispann rele aba ann sispann itilize sak pi ba yo pou yo al rele yo pa vle boule kaoutchou men jan « Moise Jean Charles » 2eme Senate nan Nord ap fe l’.
Martelly/ Lamothe te vini devan patron yo. permye president haiti-a
Mr Lamothe tente d’appliquer des concepts modernes dans un environnement animé primordialement d’instincts sauvages. Comment faire assimiler un concept de « marque haïtienne » a un individu tel que Moise Jean Charles? Toutes ces démarches, au bout du compte, devraient être entérinées par le parlement, ou, justement, beaucoup n’y verrait que du bleu. Haiti est vraiment foutu, pour ceux qui ne l’ont pas encore compris.
Radio Caraibes dont ramasse a été le fer de lance dans le renversement d’Aristide en 2004 à travers l’émission la plus suivie en Haiti à l’époque. Preska l’animateur de Ranmasse a été récompensé en obtenant le très lucratif poste de Maire de Delmas à cause de l’immensité des terres faisant partie du domaine privé et public de l’Etat. Donc possibilité de brasser d’immense affaires ce qui es en finalité l’objectif premier de nos politiciens depuis 1986. Vous vous rappelez les clashs entre le Norzéus et son assistant Exius. Norzeus mis sous pression a même menacé de couler les Lavalassiens s’il arrivait à perdre ce poste. On comprend qu’il ait choisi de rétrogarder du poste de Député de Baradères à celui de Maire de Delmas. Finallement Priska est devenu en toute probabilité un allié de Grinn Sonnin puisqu’il a du comparaitre lors du procès posthume de ce dernier pour éclaircir le tribunal sur ses relations avec ce dernier. Pourtant il ne passait un jour ou il ne décrivait Grinn Sonnin comme l’un des plus grands criminels et tortionnaires du District de Police de Delmas, situé à Delmas 33. Aujourd’hui Caraibes est revenu à la charge avec cette fois l’opposition encore plus sauvage que celle qu’elle a mené contra Aristide mais cette fois en faisant appel aux Lavalssiens qu’elle a plongé dans le désarroi le lendemain du 29 Février 2004. Je comprends pourquoi que la presse est appelé le quatrième pouvoir. Bien que les Lavalassiens n’aiment pas Radio Caraibes mais ils n’osent pas s’attaquer à sa toute puissance capacité de faire basculer la politique de ce pays dans un sens ou dans un autre. Rappelez-vous l’assainat de Ti will, mis sur le dos du gouvernement en place, a eu à peser dans le renversement d’Avril. Pour moi la presse est le pouvoir numéro un en Haiti depuis 1986. Tous les gouvernements attaqués par la Presse n’ont pas résisté. Le CNG a du changer sa formule en trois fois sous les coups de boutoir de la presse. Le rusé Général Président Avril a du plier bagage encore sous les attaques de cette presse. Les élections de 1990 ont eu lieu grâce à l’appui inconditionnel de cette presse. Cette même presse a été le fer de lance dans le renversement de Aristide en 2004. elle a essayé de récidiver avec Préval. Mais Préval qui est le plus madré Président depuis Duvalier et paradoxalement le seul Président sous lequel (Préval un et deux)la presse a été la plus tranquille depuis 1804,est parvenu a finir ses deux mandats. En fait c’est après 2004 qu’on a pu découvrir que tout cela est devenu possible que grâce à une alliance sans faille, une solidarité digne de la franc-maçonnerie, avec une classe politique qui était en somme le bras armé de la presse. Cette presse pour renverser Martelly en appelle aujourd’hui aux Lavalassiens.Mais le plus important entre autre est de faire le bilan de cette presse toute-puissante. Qu’est-ce qu’elle a apporté au pays. En somme alors que le pays est tombé dans les bas-fonds du sous-développement depuis 1986 il n’y a que lces politiciens et les membres de la presse qui se sont enrichis.De petits journalistes ses membres sont aujourd’hui propriétaires de radios, de Journaux, voire même de Télévisions. Accéder au personnel de l’une des Méga presses, même comme correspondant de province qui est un poste stratégique depuis Belfont Aristide dans le renversement de gouvernement, est plus recherché que devenir Médecin, Agronome, ou Ingénieur de nos jours.