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La Séance de validation des pouvoirs des nouveaux sénateurs élus est en cours à la chambre haute. 27 sénateurs ont répondu à l’appel. Un groupe de sénateurs constitué notamment de Youri Latortue, Edmonde Supplice Beauzile, Evallière Beauplan, Mélius Hyppolite et Jean William Jeanty ont recommandé au Bureau d’âge de ne pas valider les pouvoirs de deux nouveaux sénateurs.
Ils reprochent à Jocelerme Privert de n’avoir pas obtenu décharge en tant qu’ancien gestionnaire de deniers publics et à François Lucas St. Vil de n’avoir pas obtenu le nombre de voix requise pour être élu sénateur conformément à l’article 94.2 de la constitution en vigueur.
Quant à la Chambre des députés, une séance était prévue ce mardi en vue de constituer le Bureau : Saurel Jacinthe, élu sous la bannière de la plateforme INITE serait en bonne position pour accéder à la présidence de la Chambre basse.
Le directeur général du CEP se lave les mains dans le scandale qui éclabousse l’institution électorale. Affirmant qu’il était à l’étranger lors de la publication des résultats définitifs des dernières élections, Pierre Louis Opont précise que sa responsabilité est achevée avec la publication des résultats préliminaires, au regard de la loi électorale.
Le directeur général du CEP insiste sur la nécessité de mettre sur pied une commission d’enquête qui serait chargée de faire la lumière sur les faits et fixer les responsabilités, tout en indiquant avoir proposé une vérification au Centre de tabulation avant la publication des résultats. Une proposition qui n’a pas été prise en compte, déplore Pierre-Louis Opont.
La démission de la conseillère électorale Ginette Chérubin suscite des remous au niveau de divers secteurs de la société civile haïtienne. Pour des personnalités de ces secteurs, cette décision ne suffit pas pour permettre à Mme Chérubin de retrouver sa crédibilité.
Michel Joseph Martelly projette de mettre sur pied une force de défense nationale pour maintenir un climat sécuritaire stable en Haïti. Entre 15 et 25 millions de dollars seront nécessaires à cet effet, explique le président élu d’Haïti. Michel Martelly compte également solliciter l’appui de la MINUSTAH.
mw kwe lika f st vil te pase nan premye tou .aaa se neg inikite yo .pou priver yo te kitel paticipe koulya a sak pase.?
Attention à l’installation précipitée d’une force armée en Haïti autre que la police. Cela ne ferait qu’ampirer l’insécurité, car on ne pourrait pas contrôler une force que le pays ne peut pas rémunérer. Cette force sera certainement à la solde des anciens colons. Ce qui la rendra exactement comme la FADH.
On pourra résoudre le problème de sécurté par la création d’emplois dans d’autres secteurs, mais non en formant une force armée incontrôlable pour terroriser les gens paisibles.
Haïti a une force de police qui acquiert beaucoup d’expérience. Il faut l’équiper pour pouvoir garantir la sécurité, de concert avec tous les citoyens haïtiens, comme cela se fait dans tous les pays sérieux.
mwen dako paske lucas pat pase vre
se pa ket neg CEP KOUPYON yo ki ba li pouvwa a mwen mande pou arete tout neg ki koupab nan dosye sa a
mwen konnen yo tout se vole
Bon lucas ou we se Desamours ki sot konsa ki few rive la wi men mwen panse moun Jan Rabel ap jwenn ak li
kom li pap anyen nan vil anko.
se vole Dezamou vole konsa se sousou li ye wi mwen mande pou senate yo ale nan nodwes mennen you enket mwen semante set fwa swaswant set fwa n’ap jwen kote kaka chat la ye lucas pat senate se konplisitel ak dezamou senate Boplan mwen mande rantre fon nan dosye sa paske lucas pa eli vre
bare bare bare bare lucas