Les titres de l’actualité sur Vision 2000

Des membres de la communauté internationale avaient proposé le départ anticipé de René Préval à l’issue des élections contestées du 28 novembre. C’est ce qu’a révélé le représentant sortant de l’OEA dans une interview au Journal « Folha do Brasil ». La question de trouver un avion pour transporter René Préval a même été évoquée, selon Ricardo Seitenfus.

Alors que le chef de l’Etat délivrait son message sur la place d’armes des Gonaïves le 1er janvier dernier, un vent de contradiction soufflait dans l’assistance. Des cris de soutien au gouvernement et des slogans anti-Préval se mélangeaient.

Le discours du président René Préval le 1er janvier aux Gonaïves n’a pratiquement fait aucun effet positif sur les dirigeants politiques  de l’opposition. Evans Paul de l’Alternative y voit des propos nettement en contradiction avec la Constitution en ce qui a trait à la durée du mandat du chef de l’Etat. 

Le nombre de malades du choléra en augmentation en République dominicaine. 139 personnes infectées ont été recensées le week-end écoulé. Mais aucun décès n’a été enregistré selon le ministère dominicain de la Santé.

12 pensées sur “Les titres de l’actualité sur Vision 2000

  • 3 janvier 2011 à 10:35
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    depart de preval ,si c pour former un gourvernemnt provisoire qui va durer 2ans avant de realiser des elections,ce sera tjrs le bordel

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  • 3 janvier 2011 à 11:00
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    preval pat dwe sou pouvwa anko,se zafe demokrasi kife preval ka la toujou!!! an nou voye preval ale…

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  • 3 janvier 2011 à 1:21
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    Il n’est pas questions d’accepter ou de rejeter les propos du president Preval, mais nous devons etre serieux! trois ou quatre mois pour passer d’un gouverment legitime a un autre sera plus mieux pour le pays. Seulement il faut s’assurer que les elections seront libres et serieuses.

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  • 3 janvier 2011 à 4:19
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    SI YO PA VLE PREVAL TOUT BON VRE YO DWE PIYE MADAN MANIGA NAN YON SEGON TOUR. MADAN MANIGA GEN TOUT PWEN SA YO DEVAN CELESTIN POU KI YO PA FE YON SEL AVEL. YO TOUT VLE PRAN CHES LA. MWEN PA KWE KE MADAN MANIGA AP LESE VICTWA L LA PEDI.

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  • 4 janvier 2011 à 10:05
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    MESAJE POU TOUT AUTHORITE KAP VIV NAN PEYI D’AYITI.

    Bonjou pou nou tout e bone ane 2011, mwen gen yon problem mwen ta rennen nou ede avek li, ki problem li ye se problem konstitusyon d’ayiti. Pou ki sa mwen di sa se paske mwen tande anpil nan nou kap pale de yon prezidan provisoua, eske nou pa santi nou anreta pou sa, paske nou te supose panse aksa avan nou te fe Eleksyon nan peyi-a. Men si jodia nou arive fe Eleksyon nan peyi-a, nou depanse yon pakett lajan pou sa, men ak Bondye nou genyen yon kandida ki Elu pou premie Tou, pou ki sak fe nou oblije choisi pou nou genyen yon prezidan provisoua, pou nal depanse yon katafal lajan anko.
    Mem jan nou ka choisi yon prezidan nou kapab mete tet nou ansamb pou nou place prezidan ki Elu pou premie Tou-a kom prezidan nan peyi d’ayiti.
    Map dil anko si nou fe sa se va yon gran repitasyon e respek li va ye pou nou devan le monde’s antie, mem pou nou kap viv nan peyi-a li va kraze anpil problem pou nou.
    Nan moman sa peyi-a ap viv la se pa moman pou nap pale de konstitusyon kap fe nou kraze brize yon peyi avek tout yon pep’s kap viv ladann. Si tout kandida yo panse afe yon bagay pou peyi-a yo tout ta va mete tet yo ansamm avek prezidan ki Elu pou premie Tou-a kom prezidan peyi d’ayiti epi lot yo mem ta potekole avek prezidan. Se sa selman mwen we e mwen ka di, paseke mwen pa yon politikien, ni mwen pa konnen yon nan nou, selman sa mwen konnen mwen rennen peyi d’ayiti. Pou mwen se sa selman mwen we ki te ka fe nou avanse, tout dirijan yo se chaqche respekte yon lot. Map pose tet mwen kesyon chak jou Bondye mete pou-m ta konpran pou ki sak fe nap pale de konstitusyon ki pap mennen nou oken kote pou kouniye-a, sa se yon gro maladi li pou peyi-a e pou toumoun kap viv ladan, kom lot ayisien kap viv a letrje. Fre-m ak Se-m yo ki nan Gouvenman panse pa kite move-s espri-a fe nou yon paka viv ak lot paseke nou tout se yon sel nou ye. Si nou pa renmen tet nou pesonn paka renmen nou tou, tanpril ede tet nou pou Bondye kapab ede nou tou. Nou pa we nou tounen yon escla lib pou tout peyi sou late, kap fe nou touye yon lot epi yap lave men yo, eske je nou bouche ki fe juskaprezan nou paka we kivale nan nou ki mouri e kivale nan nou kinan mize, pou ki sak fe nou pa mete tet nou ansamb pou nou retire krize sa nan mitan nou.

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  • 4 janvier 2011 à 11:46
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    je ne comprends pas cette histoire du départ de préval,a été proposé,par la communauté internationale.que préval doive partir le 7 février ce qui est d’ailleurs prévu dans la constitution,est une chose,mais il n’est pas question que l’international met son nez dans la politique haïtienne,parce que ses décisions ne sont jamais celle du peuple,mais de ses propres intérêts mesquins.les ivoiriens sont mieux placés pour nous en parler où il y a eu des élections et que la victoire est proclamée par gbagbo et ouattara.

    le problème n’est pas que je défends gbagbo,mais je ne comprends pas cette promptitude de la communauté internationale de vouloir faire rentrer ouattara par la force,s’il le faut.c’est comme si cette communauté internationale,pilotée dans ce cas-ci par la france qui ne veut plus de gbagbo,car c’est l’afrique francophone dont il s’agit,était réellement soucieuse de la démocratie.si c’est le cas,monsieur aristide serait encore,en haïti et non en exil,en afrique du sud,loin de son pays.

    par ailleurs,si les haïtiens ne prennent pas leur destin en main,les néocolonialistes risquent de vous impliquer dans une guerre civile qui déboucherait sur un carnage sans nom,dont l’équivalence ne serait autre chose qu’un désastre immense.cette communauté internationale joue un double jeu,en fait quelque soit la solution finale,elle veut être gagnante et qui gagnante,dit perdante aussi.et dans ce cas-ci ce serait le peuple haïtien qui serait le malheureux perdant.alors gare aux haïtiens de tomber dans le fit de ces voyous et ces crapules.

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  • 4 janvier 2011 à 11:46
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    je ne comprends pas cette histoire du départ de préval,a été proposé,par la communauté internationale.que préval doive partir le 7 février ce qui est d’ailleurs prévu dans la constitution,est une chose,mais il n’est pas question que l’international met son nez dans la politique haïtienne,parce que ses décisions ne sont jamais celle du peuple,mais de ses propres intérêts mesquins.les ivoiriens sont mieux placés pour nous en parler où il y a eu des élections et que la victoire est proclamée par gbagbo et ouattara.

    le problème n’est pas que je défends gbagbo,mais je ne comprends pas cette promptitude de la communauté internationale de vouloir faire rentrer ouattara par la force,s’il le faut.c’est comme si cette communauté internationale,pilotée dans ce cas-ci par la france qui ne veut plus de gbagbo,car c’est l’afrique francophone dont il s’agit,était réellement soucieuse de la démocratie.si c’est le cas,monsieur aristide serait encore,en haïti et non en exil,en afrique du sud,loin de son pays.

    par ailleurs,si les haïtiens ne prennent pas leur destin en main,les néocolonialistes risquent de vous impliquer dans une guerre civile qui déboucherait sur un carnage sans nom,dont l’équivalence ne serait autre chose qu’un désastre immense.cette communauté internationale joue un double jeu,en fait quelque soit la solution finale,elle veut être gagnante et qui gagnante,dit perdante aussi.et dans ce cas-ci ce serait le peuple haïtien qui serait le malheureux perdant.alors gare aux haïtiens de tomber dans le fit de ces voyous et ces crapules.

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  • 4 janvier 2011 à 11:46
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    je ne comprends pas cette histoire du départ de préval,a été proposé,par la communauté internationale.que préval doive partir le 7 février ce qui est d’ailleurs prévu dans la constitution,est une chose,mais il n’est pas question que l’international met son nez dans la politique haïtienne,parce que ses décisions ne sont jamais celle du peuple,mais de ses propres intérêts mesquins.les ivoiriens sont mieux placés pour nous en parler où il y a eu des élections et que la victoire est proclamée par gbagbo et ouattara.

    le problème n’est pas que je défends gbagbo,mais je ne comprends pas cette promptitude de la communauté internationale de vouloir faire rentrer ouattara par la force,s’il le faut.c’est comme si cette communauté internationale,pilotée dans ce cas-ci par la france qui ne veut plus de gbagbo,car c’est l’afrique francophone dont il s’agit,était réellement soucieuse de la démocratie.si c’est le cas,monsieur aristide serait encore,en haïti et non en exil,en afrique du sud,loin de son pays.

    par ailleurs,si les haïtiens ne prennent pas leur destin en main,les néocolonialistes risquent de vous impliquer dans une guerre civile qui déboucherait sur un carnage sans nom,dont l’équivalence ne serait autre chose qu’un désastre immense.cette communauté internationale joue un double jeu,en fait quelque soit la solution finale,elle veut être gagnante et qui gagnante,dit perdante aussi.et dans ce cas-ci ce serait le peuple haïtien qui serait le malheureux perdant.alors gare aux haïtiens de tomber dans le fit de ces voyous et ces crapules.

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  • 4 janvier 2011 à 11:46
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    je ne comprends pas cette histoire du départ de préval,a été proposé,par la communauté internationale.que préval doive partir le 7 février ce qui est d’ailleurs prévu dans la constitution,est une chose,mais il n’est pas question que l’international met son nez dans la politique haïtienne,parce que ses décisions ne sont jamais celle du peuple,mais de ses propres intérêts mesquins.les ivoiriens sont mieux placés pour nous en parler où il y a eu des élections et que la victoire est proclamée par gbagbo et ouattara.

    le problème n’est pas que je défends gbagbo,mais je ne comprends pas cette promptitude de la communauté internationale de vouloir faire rentrer ouattara par la force,s’il le faut.c’est comme si cette communauté internationale,pilotée dans ce cas-ci par la france qui ne veut plus de gbagbo,car c’est l’afrique francophone dont il s’agit,était réellement soucieuse de la démocratie.si c’est le cas,monsieur aristide serait encore,en haïti et non en exil,en afrique du sud,loin de son pays.

    par ailleurs,si les haïtiens ne prennent pas leur destin en main,les néocolonialistes risquent de vous impliquer dans une guerre civile qui déboucherait sur un carnage sans nom,dont l’équivalence ne serait autre chose qu’un désastre immense.cette communauté internationale joue un double jeu,en fait quelque soit la solution finale,elle veut être gagnante et qui gagnante,dit perdante aussi.et dans ce cas-ci ce serait le peuple haïtien qui serait le malheureux perdant.alors gare aux haïtiens de tomber dans le fit de ces voyous et ces crapules.

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  • 4 janvier 2011 à 11:46
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    je ne comprends pas cette histoire du départ de préval,a été proposé,par la communauté internationale.que préval doive partir le 7 février ce qui est d’ailleurs prévu dans la constitution,est une chose,mais il n’est pas question que l’international met son nez dans la politique haïtienne,parce que ses décisions ne sont jamais celle du peuple,mais de ses propres intérêts mesquins.les ivoiriens sont mieux placés pour nous en parler où il y a eu des élections et que la victoire est proclamée par gbagbo et ouattara.

    le problème n’est pas que je défends gbagbo,mais je ne comprends pas cette promptitude de la communauté internationale de vouloir faire rentrer ouattara par la force,s’il le faut.c’est comme si cette communauté internationale,pilotée dans ce cas-ci par la france qui ne veut plus de gbagbo,car c’est l’afrique francophone dont il s’agit,était réellement soucieuse de la démocratie.si c’est le cas,monsieur aristide serait encore,en haïti et non en exil,en afrique du sud,loin de son pays.

    par ailleurs,si les haïtiens ne prennent pas leur destin en main,les néocolonialistes risquent de vous impliquer dans une guerre civile qui déboucherait sur un carnage sans nom,dont l’équivalence ne serait autre chose qu’un désastre immense.cette communauté internationale joue un double jeu,en fait quelque soit la solution finale,elle veut être gagnante et qui gagnante,dit perdante aussi.et dans ce cas-ci ce serait le peuple haïtien qui serait le malheureux perdant.alors gare aux haïtiens de tomber dans le fit de ces voyous et ces crapules.

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  • 4 janvier 2011 à 11:46
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    je ne comprends pas cette histoire du départ de préval,a été proposé,par la communauté internationale.que préval doive partir le 7 février ce qui est d’ailleurs prévu dans la constitution,est une chose,mais il n’est pas question que l’international met son nez dans la politique haïtienne,parce que ses décisions ne sont jamais celle du peuple,mais de ses propres intérêts mesquins.les ivoiriens sont mieux placés pour nous en parler où il y a eu des élections et que la victoire est proclamée par gbagbo et ouattara.

    le problème n’est pas que je défends gbagbo,mais je ne comprends pas cette promptitude de la communauté internationale de vouloir faire rentrer ouattara par la force,s’il le faut.c’est comme si cette communauté internationale,pilotée dans ce cas-ci par la france qui ne veut plus de gbagbo,car c’est l’afrique francophone dont il s’agit,était réellement soucieuse de la démocratie.si c’est le cas,monsieur aristide serait encore,en haïti et non en exil,en afrique du sud,loin de son pays.

    par ailleurs,si les haïtiens ne prennent pas leur destin en main,les néocolonialistes risquent de vous impliquer dans une guerre civile qui déboucherait sur un carnage sans nom,dont l’équivalence ne serait autre chose qu’un désastre immense.cette communauté internationale joue un double jeu,en fait quelque soit la solution finale,elle veut être gagnante et qui gagnante,dit perdante aussi.et dans ce cas-ci ce serait le peuple haïtien qui serait le malheureux perdant.alors gare aux haïtiens de tomber dans le fit de ces voyous et ces crapules.

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  • 5 janvier 2011 à 10:09
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    Evens Paul et Rebu veulent tenter leur chance avec un gouvernement provisoir !

    Que Préval reste jusqu’au 14 Mai pour compléter les élections.

    Je pense que, malgré les explications de Prévale qui semblent tenir la route, on lui prête trop d’intentions. Des intentions qu’il n’a peut-être pas.

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