Haïti/Elections : Changement d’avis d’une formation politique de l’opposition

Les candidats de la Plateforme des patriotes haïtiens (PLAPH) participeront bel et bien aux élections législatives du 28 novembre prochain, a informé lundi l’ex-colonel Himmler Rébu, l’un des dirigeants de ce regroupement de partis.

Cette décision a été prise presqu’à l’unanimité, la veille, lors d’une rencontre entre les dirigeants de la PLAPH et ses prétendants agréés à participer à ce scrutin.

Dans ses différentes prises de position, la Plateforme des patriotes haïtiens avait exprimé son refus de prendre part au processus électoral. Pourtant, ce regroupement co-dirigé par Himmler Rébu et l’ancien sénateur Déjean Bélizaire a finalement changé d’avis.

Himmler Rébu a précisé à la presse qu’il s’agit d’un changement de position en accord avec les candidats du regroupement désireux de réintégrer le processus électoral.

Dans l’intervalle, certains candidats inscrits sous la bannière de la plateforme ‘’Alternative’’ n’entendent pas lâcher pris en dépit de la décision de leur regroupement de bouder le processus électoral.

La décision ces candidats de ne pas obéir aux consignes de la plateforme ‘’Alternative’’  serait dictée par leurs partisans et sympathisants, selon l’ex-sénateur des Nippes, Joseph Pierre-Louis.

Cette intervention de cet ancien parlementaire de l’OPL, candidat à sa réélection, a été très critiquée par la plupart des membres de l’assistance lors de la clôture, la semaine dernière, de la Conférence des forces politiques, sociales et territoriales.

Des militants, ayant à leur tête le candidat à la députation Hervé Saintilus, avaient même hué  l’ancien sénateur Joseph Pierre-Louis.

Entre temps, l’ex-député Steven Benoît, candidat au Sénat sous la bannière de cette plateforme, décide de participer à ce scrutin.

Les élections présidentielles et législatives du 28 novembre 2010 doivent coûter à l’Etat haïtien près de 30 millions de dollars américains.

Le gouvernement des Etats-Unis a déjà décaissé 5 millions de dollars pour soutenir ce processus. D’ici la semaine prochaine, le Canada devra emboîter le pas en octroyant les 5 millions dollars promis pour la réalisation de ces élections. L’Union Européenne devrait incessamment honorer son engagement au Conseil électoral provisoire (CEP).

 La gestion des fonds internationaux destinés à la réalisation du prochain scrutin est confiée au Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD). [rv2000]

Une pensée sur “Haïti/Elections : Changement d’avis d’une formation politique de l’opposition

  • 21 septembre 2010 à 10:05 AM
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    Alos te gen yon afè serye… psuiiiiiiiiiii Agaman zagoloray koudetayis sa yo te janm serye…

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  • 21 septembre 2010 à 11:40 AM
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    Konpatriyot,nou Salwe’w!

    Pouvwa sakap dirije a nan moman + pati politik osnon lidèpolitik=konplotè200an osnon 2004 e resilta sa a egal divisyon pati politik yo osnon lidèpolitik.Donk,pep la paka mobilise paske adisyon an se kont yo te fe’l pwoin.

    SAK KAPAB KAP KONPRAN’N!

    200tièm Anivèsèman Not!

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  • 21 septembre 2010 à 11:44 AM
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    kisa nou te panse zagoloray zefeyis koudeta sa yo pa tap ale okenn kote tout se pou job yo tap goumen kom yo we preval pa brendeng ni bridim yo mache.

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  • 21 septembre 2010 à 1:14 PM
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    Il est important de souligner que la meilleure option c’est pas le boycot, il faut que les parties de l’opposition se rallient derriere un candidat unique pour aller aux elections. Aucune agence internationale serieuse allait appuyer le rache manyok a pratiquement quelque mois de la fin du mandat d’un president; cette demarche est suspecte de faiblesse et de complot. Messieurs pour refonder l’Etat il vous faut d’abord le pouvoir ; organisez vous afin de controler d’abord le legislatif et apres l’executif, laissez de cote ces querelles de chapelle; unissez-vous et defiez le pouvoir . Mwen ap regret anpil pou nou pa ale nan eleksyon et apres pou nap mande demisyon gouvenman ou prezidan, union va fe fos nou . Haiti est malade et elle a besoin de nous chers compatriotes… marchons vers le chemin de la reconciliation et de la stabilite car on risque de constater la disparition d’Haiti avant que le developpement lui ait lance. Allez messieurs

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