Les titres de l’actualité sur Vision 2000
Dossier du policier Wanso Jules. Plusieurs dizaines d’agents de la PNH se sont donnés rendez-vous ce lundi devant les locaux du Parquet de Port-au-Prince pour dénoncer l’abus de pouvoir dont est victime leur collègue du service d’Immigration. Une grande réunion impliquant le commissaire du gouvernement, Auguste Harrycidas, des représentants du ministère de la Justice et de la Police s’est déroulée autour de l‘affaire au Parquet.
L’affaire sera entendue à nouveau jeudi au correctionnel, selon ce qu’a annoncé Me. Osner Févry. Le juriste a sollicité un réexamen du dossier sur la base des articles 391 et 405 du code de procédures civiles.
Le président du BED de l’Ouest I se défend dans le dossier de Claire Lydie Parent. Jaccillon Barthélemy précise que sa rencontre avec la candidate à la présidence a eu lieu suite à une requête de l’intéressée qui d’ailleurs a été déclarée irrecevable. Si la machine électorale est infestée de corrompu, il n’en est pas un, s’est-il défendu.
José Miguel Insulza vient de s’attirer les foudres de la plupart des responsables politiques de l’opposition. En estimant que le processus électoral en cours est crédible, le secrétaire général de l’OEA se fait complice et du chef de l’État et du CEP dans leurs agissements, soutiennent ces dirigeants de partis. Ils notent que les propos de M. Insulza ne reflètent guère la réalité.
Action collective pour la dignité nationale. C’est le nom d’une nouvelle organisation sociopolitique portée sur les fonts baptismaux ce lundi. Ce groupe de pression entend dénoncer les dérives de l’équipe au pouvoir tout en réfléchissant sur les grandes questions nationales.
L’alerte orange est décrétée sur le grand nord menacé par de fortes averses, des rafales et des orages. L’ouragan Earl classé en catégorie 3 se fait de plus en plus menaçant. Le Centre national de météorologie d’Haïti appelle la population à la prudence. [rv2000]
Il n’y a aucun autre mot pour qualifier l’attitude de ce commissaire qui se croit être au-dessus de tout le monde. Il s’agit pur et simple d’un abus d’autorité. Le commissaire croit pouvoir exercer son autorité partout et en tout lieu pour favoriser sa clientèle. Il devrait avoir au contraire la sagesse de demander à ses gardes du corps de ne pas entrer dans l’enceinte du bâtiment avec leurs armes. J’imagine que ce commissaire ignore aussi que l’espace universitaire est inviolable. Il rentrerait avec ses agents jusqu’au bureau du recteur s’il devait le rencontrer. Dans les hôpitaux aussi il est interdit de circuler avec des armes. Le commissaire aurait dû savoir cette règle élémentaire. Au lieu de faire son mea culpa il se montre plus arrogant que tout le monde et même aller jusqu’à créer un précédent grave. Le policier est arrêté, jugé et condamné le même jour. Le commissaire ignore tout ce qui se rapporte à son devoir de représentant du ministère public qui est appelé à servir. C’est son devoir de faire respecter le droit des autres, pas d’abuser lui-même les autres. Je trouve lamentable que dans nos institutions, on compte autant d’incompétents ou d’handicapés intellectuels. Dès qu’ils obtiennent un poste ils cherchent uniquement à assouvir leurs bas instincts en foulant au pied tous les droits fondamentaux acquis au prix de grands sacrifices par un peuple opprimé pendant plus de deux siècles. Sommes-nous revenus deux cents ans en arrière où les colons enchainèrent les esclaves au soleil en leur privant de nourriture et de toute sorte de privilège. Sommes-nous revenus à l’époque des tontons macoutes (miliciens) où le peuple n’avait pas le droit à la parole. Le commissaire devait réfléchir à deux fois avant de lâcher cette bombe qu’il nomme un outrage à la magistrature. On se doit de demander si le commissaire du gvt confond une visite dans une administration avec une perquisition dans le cadre de ses fonctions. Le commissaire n’était pas dans l’exercice de ses fonctions puisqu’il ne menait apparemment aucune perquisition au service d’immigration. Il chercherait selon toute vraisemblance à avoir des privilèges pour ses proches, ce qu’il ne devrait pas faire en tant qu’homme de lois chargé d’administrer et de distribuer la justice aux justiciables. J’espère qu’il ne cachera pas longtemps derrère ses orgueils de super-chef. Qu’il fasse preuve de grandeur d’âme en reconnaissant ses erreurs. Il n’y a pas lieu de tenir des réunions secrètes entre les différents responsables de la justice et de la police. Ce n’est pas au ministre de la justice, ni au président de la république de trancher. Il revient au commissaire de reconnaitre ses torts et de faire son mea culpa.
IL devait tirer des lecons en ce qui a trait a ses predecesseurs. L’exces en trop nuit toujours. Si le commissaire s’est presenté au bureau de l’immigration pour retirer son passeport, il le fait a titre individuel et doit se soumettre aux principes etablis par la direction du service.
Le fait de condamner le policier le meme jour, et qu’il perd ses droits civils et politiques…. Me Aristidas Auguste est alle trop loin. Maintenant la population aura du mal a lui faire confiance dans ses jugements.
Belle intervention Mr Jeanty, et, je Vous félicite!
J’ai entendu la declaration du directeur de l’immigration au sujet de ce piteux debacle, ca fait vraiment mal parce que le commissaire est fou. Il voulait tout simplement prouver qu’il est chef et rien que cela.
Selon le Directeur de l’immigration, la chose s’etait deroulee devant lui et il demanda au commissaire de laisser tomber cette affaire selon lui qui n’a pas d’importance.
C’est Haiti, Le chef veut toujours s’identifier a tous qu’il est chef. Malheureusement!
Pye poul kap kraze ze poul men se trop sa. Abi pouvwa.Ti neg trop chef!
Yo fel chak jou. Sak terib se ke le pou yo fe move zak yo mete tet yo ansanm. Ex. Yo te tounen Lavaud anko. Zafe Alain Desir la fini byen, yo mete yon lot sou li nan menm zone lan. Fwa sa a pa sanble gen lyon men rhum, parfum ak rad. BLTS,MUNISTHA podyab,LAJISTIS. Mezanmi yo fouye de kay. Met yo pa Haiti. Fwa sa rapote a ba yo manti e ke yo bat nwit lan pou ti bagay piti.
Les policiers Haitiens sont des laches.
Haiti ta dwé bloké.
Mwen ap vivi Montréal, si Policiers haitiens yo gen visage, map rantré batay koté yo.
Bagays sa pa gen ankenn sens.
Il faut que les policiers Haitiens se soulèvent!!
Vous n’êtes pas de simples citoyens, m^meme si vous êtes des demi-analphabètes. Vous ètes des FONCTIONNAIRES de l’État au même titres que ce bandit de commissaire.
vous êtes le seul bras armée du pays.Vous êtes la FORCE repressive de l’ÉTAT. Je parle ici de repression »progressiste ».
Si vous êtes des hommes, des femmes; si vous avez du sang qui coulent dans vos veines; si vous n’avez pas peur de perdre vos sales job( même pas un salaire serieux);………si……… vous devez prendre la rue et bloquer ce pays aux quatres coins!!!!
Je suis avec vous depuis Montreal.
J’estime ce fameux soit disant commissaire du Gouvernement si on peut l’appeler ainsi a décliné son incompétence en prenant une telle décision à la fois arbitraire et disproportionnée.Cette peine est à la fois afflictive et infamante.
La simple libération du policier ne suffit pas,il a droit à des réparations civils.
Le C.G a abusé de son pouvoir et a commis une infraction prévue et punie par la loi qualifiée » Abus d’autorité ».
C’est normal, dans un pays désorganisé,comme le notre, tout est permis.
Pour certains, il est plus facile d’être commissaire du gouvernement du jour au lendemain,que d’être un policier recruté sur concours.
Je souhaiterais que le ministre de la justice agisse vite en vue de réparer cette bétise.