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C’est confirmé. Il n’y aura pas de carnet pour les candidats qui en principe doivent soumettre leur certificat de décharge. Le président du CEP se veut imperturbable. Gaillot Dorsainvil se réfère à la théorie des formalités impossibles pour justifier sa décision.
Ce laissez-passer ne sous-entend nullement carte blanche aux candidats favorisés, s’il faut croire le patron de l’institution électorale. La Commission bicamérale de décharge pourra toujours statuer sur la question une fois constituée après les élections, soutient Gaillot Dorsainvil.
Le secrétaire général adjoint du RDNP croit opportun d’attirer l’attention des conseillers électoraux sur le fait qu’ils peuvent être poursuivis par devant la haute Cour de Justice même à l’issue de leur mandat pour violation de la Constitution.
Par ailleurs, le tribunal électoral s’était penché sur les cas de contestations enregistrés. La question de la résidence du candidat Wyclef Jeannel Jean a été largement débattue ce jeudi.
Des numéros ont été attribués aux 13 nouvelles formations politiques habilitées à prendre part aux prochaines joutes. Les nouveaux numéros varient de 56 à 68. Le tirage au sort a eu lieu ce jeudi au siège du CEP à Pétion-Ville.
Six observateurs de la mission conjointe OEA/CARICOM sont déployés sur le terrain. Ils se sont déjà entretenus avec les autorités en place ainsi que divers acteurs impliqués dans le processus électoral, a informé le chef de la mission, Colin Granderson.
Sept mois après le séisme du 12 janvier, des organisations sociales continuent d’exiger une meilleure prise en charge de la population. ‘’Batay Ouvriye’’ et BAI réclament des logements décents pour les sans-abri et l’amélioration de leur condition d’existence. Ces organisations ont manifesté ce jeudi devant le Palais présidentiel.
MALFRENDENG, RESTAVEK, SOUFLANTYOU yo rele Gwo Domestik la Oh ! pardon ! Gaillot Dorsainvil la daye tankou tout sanzave ki o pouvwa yo toujou panse tout moun yap gouvenen yo toujou pisot pase panyen pesil tankou. San respe pou moun kap tande yo, yo krache ,osnon vonmi nenpot ORDURES, DECHETS nan figi bon moun.
1.- Tout moun konnen ke chak fwa G.D. ap repete zafe eleksyon demokratik, enkliziv, tranparan elatriye, li manti pase chyen ki di liwe zonbi. Si li pat manti,malgre ke chef li fin kraze pati politi Fanmy Lavalas la yo rete pe li. Si seleksyon wa te yon reyel ELEKSYON ENKLIZIV, poukisa li pa REYENTEGRE pati pep la nan SALBADYA yowa. Chak fwa lap akouche tyanpan sayowa, gwo zotey li preske dechire semel souliye’l. Kouman w’tavle yon bann sanzave, tankou sila a ki rive prenmye Sennate depatman lwes la sou met MARIO VIAUD, yon kidnape konsa, le yo fin seleksyonen yo nan pati politik I N I K I T E Preval, voye yo lachanm nan ak nan sena a taval mande anraje deye preyidan kite kanyida san dechaj OBLIGATWA, SOUPLE, dapre manman LWA peyiya. Eske sepa yon fason ke yap chahe pou mete Ayiti » A FEU ET A SANG « . ( Sigaret ki limen nan de (2) bout).
2.- Tout moun konnen ke se Prezidan anachist la ki TOUJOU dikte G.D. ,osnon bay G.D. vye dlo sal,santi kowonpi sayo pou vin voye nan figi moun. Epi lwa prezidensyel monte nan tet tout swadizan ENTELETYEL KOMOKYEL yo, ki ap kritike K E P ya ak G.D. yonbor, pandanke lot borwa yap kosyonen dega/roulo konprese ki pral blayi sou peyiya. Maladi PREZIDANSAL la telman anvayi lespri entelekomokyel le, yo vin soud, aveg, eegare menban menm, yap avanse tet bese ale laboucheri G.D. ak Preval ap mennen yowa. E, se sakife ke Prezidan Preval pa pranyo pou pip tabaktou, paske li konnen se bri yap fe pou granmesi. Li konnen bout yo byen: ker yo agoch, kwiya nanmen dwat la, bann zalmalaza yo. Kou deblozay la pete, G.D. ak Preval fin bayo bwe metsin KALOMEL la, wa va tande yo tout ki pral rele Je pwotes enejikeman, pep la, tann modod elatriye.
Yo lese’m ak yon gwo dout. Ki dout liye? Kom Preval se metdam, li sanble li achte ti fey bek yo, feyo rantre nan wonwan pou kosyone maskarad SELEKSYON wan, epi.epi. epi…..
Poli tik sou do chyen nou genyen an Ayiti yo, anpil ladanyo pi mal pase chyen grangou. Nenpot vye zo w’lage devan yo sifi pouyo sispann jape.Egzanp, Paul Denis , Minis Enjistis la, ki kom kanyida O P L an 2006 tedi ke ti Renne gen lajan dwog ak kidnaping nan kanpay liya, aloske koulyeya, se sousou Preval liye. Me. Gerard Pierre-Charles, leve non pou’w ta gade kavalye polka nan je, fas a fas….
Annou pran yon lot sije.
Jenes la mete tet nou dret doubout sou zepol nou, pou’n pa tonbe nan si’m te konnen ki TOUJOU rive an reta. sonje byen ke Wyclef se neve Raymond Joseph, sili pran move kane, pou’l pa trennen nou mennen bay tonton’l ki toujou anbasade peyi’n nan U S A.
La commission ne pourra pas statuer sur la question de décharge après les élections, c’est un non sens.A mon humble avis,il fallait soit respecter scrupuleusement la lettre de la constituion soit voir l’esprit des constituants de 1987 losqu’ils élaboraient la constitution.
Autrement dit si on s’en tient à l’esprit de la constitution, on peut se baser sur le seul rapport de la CSCCA. Mais il y a des règles à respecter.
C’est peut être là que le prof Dorval voulait arriver en edictant sa » théorie de l’impossible ».Une théorie normalement part d’un principe.Puisque le parlement est dans l’impossiblité de se prononcer sur la question de décharge, le raisonnement juridique porterait à l’exécutif de prendre une ordonnance sur la base du rapport de la CSCCA et de dire si ces candidats concernés sont habilités à concourir aux urnes.
Mais telle qu’on élabore cette théorie,cela peut engendrer d’autres problèmes techniques.or une théorie doit apporter des solutions.D’après ce que j’ai compris, on accepte la candidature de ces candidats et par la suite, celui qui sera élu pourra être destitué par la haute cour de justice.C’est une abérration.on dirait qu’on mélange les choses.Quand le président est en fontion, on ne peut le destituer que s’il commet un manquement à ses devoirs.Je vous donne un exemple: le cas de M. Clinton et cette Jessica Lewis, il n’a pas été destitué par le Sénat.C’est pour dire que le président doit commettre l’action pendant qu’il est en exercice.
Or on prétend que le Sénat pourra destituer un président fraîchement élu pour des malversations antérieures.Là il y a problème, parce qu’il faut trouver des fonds pour refaire les élections.Entretemps c’est la cour de cassation qui assurerait l’intérime.Voyez vous ce que cela peut comporter comme choc pour les citoyens?
Est ce que le sénat pourra vraiment agir après l’investiture du président? Pour moi c’est non car la constitution dit que la décharge doit être donnée avant et non pendant que le président est en exercice.Les conséquences seront trop lourdes.
Si le CEP a pris sur son compte d’accepter la candidature sans la décharge, il faut( pour ne pas avoir de complication à l’avenir) dire que le rapport de la CSCCA est suffisant.
par ailleurs,dans tous les manuels de droit il est écrit que la résidence est le lieu où la personne demeure effectivement de façon stable et habituelle. Un simple lieu de passage ne saurait être la résidence.
il ne faut pas confondre le domicile et la résidence.En droit il ya le domicile réel et le domicile élu( je ne vais pas rentrer dans ses détails)qui est distinct de la résidence.
Pour le cas de Wyclef, on dit qu’il était un embassadeur, là encore c’est une erreur car ce n’était qu’un titre honorifique. Il n’avait aucune mission liée à la fontion qu’accomplit normalement un ambassadeur. De plus, les ambassadeurs haitiens ont toujours une résidence en Haïti.
Je pense qu’il faut faire les choses selon les normes et on n’aura pas de problème.N’ayez surtout pas peur d’appliquer la loi.
Je viens rectifier: au lieu de Jessica, il s’agissait de l’affaire de Monica Lewinsky pour laquelle le Président américain à l’époque avait fait l’objet d’une procedure dite d' »impeachement » et a été jugé par le Sénat pour parjure et entrave à la justice, alors qu’il était en fonction. J’avais donné cet exemple pour élucider le cas où la haute cour de justice peut se constituer.
ninpot moun kap konteste kont wyclef yo jalou e lap bat tout moun
Sa a se yon problem, siw bay vag sou zafe dechaj la wap oblige bliye bagay residans lan. Meye fason an se met la lwa an fonksyon. Ou met te Jude Celestin oubyen Wyclef nou tout bezwen respekte la lwa. Si se 6 pati ki ale nan eleksyon. Ki tel fe jan Konstitisyon peyim nan mande lan. Tout moun fe ti koken gen yonn menm li swiv li jouk nan granmoun li. Nou bouke ak koripsyon ki nan Ayiti a.
Merci Lundy pour ces precisions. Dommage « motiss » n’ est pas en demeure de reflechir rationellement. Le CEP n’ est pas au dessus de la Constitution de 1987. EN AUCUN CAS, le CEP peut mettre a cote la Constitution ou/et la Loi Electorale.
Haute Cour de Justice avant les Elections.
Que les elus prennent leur responsabilites devant l’ Histoire.
Il n’ est pas encore trop tard.
De ki Wyclef wap pale moun la a, s kisa misye fe pou zon kwadebouke kote li di ke li fet la,mennm pa yon lekol kominote ou yon sant sante, gwo bravo pou Guy Theodore, ki te kite lame ameriken kote li tap travay kom medsen li te vin konstui lopital piyon kap bay popilasyon an sevis,vouzan en revouzan ak Wycleff ou an,bann enbesil,banm san konprann eskizem la sosyete.
Motiss,
Se pa bat ki impotan se ki sa ou pwal fè lè ou rive sou pouvwa a.Prendre le pouvoir est une chose ce que bien gouverner en est une autre.
Mwen jwenn kefleksyon ou an vrèman ba.
« La cécite n’affecte en rien le gros bon sens,mais quand ce n’est que le coeur qui bat et qu’il n’est pas aisé de trouver la tête qui pense,on doit pouvoir dire : »Cordonnier,pas plus haut que la chaussure » »Ce populisme ne fera autre chose Sinon que le développement de notre sous-développement! Donne à Dieu ce qui est à Dieu et à César le leur.Donc,la politique aux politiciens.
Haïti n’a décidément pas besoin d’une seconde catastrophe.Mais beaucoup connaissent l’Histoire et savent que la démagogie n’a jamais résolu aucun problème.Au contraire,elle les exacerbe.
Nous devons choisir une bonne direction pour accoucher lautre haiti, que nous pronons dans tous les coins de ce pays.
Ce sont tous des mafia.