Les titres de l’actualité sur Vision 2000
Les partis politiques membres du Mouvement patriotique de l’opposition démocratique écartent toute possibilité de prendre part à des élections organisées par le pouvoir en place. Ils déclarent s’accrocher aux conclusions du rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur le décès du juge Jean Serge Joseph qui recommande la mise en accusation du président Michel Martelly, du premier ministre Laurent Lamothe et du ministre de la justice, Jean Renel Sanon.
D’ailleurs, les membres du MOPOD décident de boycotter la rencontre programmée par Michel Martelly pour demain mercredi au Karibe Convention Center. Ils entendent ainsi se venger du chef de l’Exécutif qui les a traités récemment de voleurs de Bœuf, de volailles et de terre. C’est également la position du parti Fanmi Lavalas, de la fusion des sociaux-démocrates et de l’OPL. Rappelons que le MOPOD regroupe une quinzaine de formations politiques dont le RDNP, la plateforme libération, le groupe 77, la KID, Ansanm Nou FO, le PLH, le PNDPH etc.
Michel Martelly va devoir tirer sa révérence s’il touche au mandat des sénateurs élus en 2009. Cette mise en garde est du président du grand Corps, Dieuseul Simon Desras pour qui le chef de l’état est en rébellion contre la constitution et les institutions républicaines. Le parlementaire qualifie de comédie la proposition de Martelly d’organiser les prochaines élections sous l’empire de la loi électorale de 2008 qui contraste pourtant avec la constitution amendée.
Le président Taïwanais, Ma Ying-Jeou est arrivé à Port-au-Prince ce mardi pour une visite officielle d’environ 24 heures. A la tête d’une délégation de 120 personnes, monsieur Ying-Jeou a été reçu à l’aéroport Toussaint Louverture par le président Michel Martelly et le premier ministre Laurent Lamothe.
Eugène Saul, un étudiant haïtien en 3e année en Odontologie en République dominicaine a accusé certains membres du personnel du consulat dominicain au Cap-Haïtien de l’avoir agressé ce mardi. Notre compatriote réclame justice et réparations.
Nous avons besoin d’une opposition politique digne de ce nom en Haïti.
Les Citoyens de 42 a 43 ans ont vécu des moments très troublant dans leur existence. La fin de 1985 fut le début de toute une série événements qui ont marque toute notre vie. Au nom de cette génération d’Hommes et de Femmes, nous demandons a tous les Citoyens qui se sentent concernés par le danger qui menace une foi de plus notre pays de se mettre debout et marcher sur Port-au-Prince pour réclamer le Respect de la Constitution et des Lois Haïtiennes en vigueurs, non a la Dictature, non a la dilapidation du Trésor publique, non au mépris des valeurs de la République.