Haïti-Justice : Nouveau report de la séance en appel contre Duvalier
La demande des avocats de Jean Claude Duvalier de reporter la séance au 21 février a été acceptée par les juges de la cour d’appel qui réclament une fois de plus la comparution de l’ex-dictateur.
Appelé à se présenter ce 7 février à l’audience, Duvalier ne s’est pas montré et a laissé le soin à ses avocats de lire une lettre dans laquelle il avance les motifs de cette absence.
Selon la lettre lue par ses avocats, Jean Claude Duvalier affirme dans cette lettre que la convocation a été « prématurée » et n’a « pas été faite à la suite de débats ».
La seance à la cour d’appel ce 7 février coïncide avec le 27e anniversaire de la chute de son régime. Mais pour Duvalier ce devait être « une date de réconciliation nationale ». Il mentionne particulièrement des « actes abominables » commis après son départ du pays en 1986 contre ses partisans.
Il a ainsi passé sous silence les crimes commis par son régime et que lui reprochent des victimes qui ont porté plainte.
Au cours de la séance, qui s’est déroulée dans une atmosphère houleuse, le déni a paru comme une véritable arme de plaidoirie pour les avocats de Duvalier. Ces derniers n’ont pas voulu reconnaitre de partie civile dans l’affaire.
L’audience a été suspendue momentanément par les juges devant le refus des avocats de Jean Claude Duvalier de laisser la parole à leurs homologues de la partie civile.
Les avocats de l’ex tyran ont refusé également d’accepter le principe que l’affaire concerne des crimes autres que uniquement des crimes économiques objet d’une plainte de l’Etat haïtien.
Les plaignants maintiennent leurs accusations de crimes contre l’humanité pour lesquels elles ont eu recours à la justice.
Devant le tribunal à Port-au-Prince, les partisans de l’ex-dictateur s’étaient massés de très tôt. Des jeunes réclamant le jugement de celui qui est appelé familièrement « Baby Doc » ont levé des pancartes réclamant la condamnation de l’ancien « président à vie ».
Une légère échauffourée a même eu lieu entre les deux camps et le calme a été rétabli.
Source: http://www.alterpresse.org
Ce vous avez deliberement omis dans votre texte, et peut etre pour tromper la capacite d’analyse der vos lecteurs sur la verite de l’epoque, c’est que le regime des Duavalier etait un regime dictatorial qui avait des regles et loius etablies au depart.La constitution d’alors que l’on veuille on non consacrait la presidence avie et le droit au president de designer son successeur’ Donc il etait a l’epoque une prerogative du president de proteger son pouvoir par tous les moyens.Et tous ceus qui s’arrogent le droit d’aller a l’encontre du status quo etait un ennemi a abattre , aussi simple que ca. Il est vrai que le regime a commis d’atrocite enorme, mais il faut voir ces atrocites dans le cadre de faire respectre laloi de l’epoque. Mais aujourd;hui que l’on dit etre en democratie, vous voyez avec quel acharnement que les lavalas utilisent le terme COMPLOT CONTRE LA SURETE DE L’ETAT pour persucuter ses adversaires politiques. ILs tuent, pillent, brulent, disparaissent beaucoup de gens et vous ne dites rien ca c’est de l’hypocrisie. il faut reconnaitre que tout ceux qui allaient a l’oppose du regime des DUVALIER savent LE RISQUE qu’il en courent , c’est comme quand vous jouyez a la lotterie, au depart vous savez le prix a payez si vouz echouez, donc cessez la vagabondage soyons honnette
C’est vrai le régime de DUVALIER a commit des crimes, mais le peuple après son départ a dévoré les Duvalieriste. Si l’ex Président Duvalier devrait juger, qui jugera le peuple? déjà la justice est rendu par soit même. il préférable de tout laisser tomber si vous voulez bien éviter une bataille entre les deux camp. déjà « Une légère échauffourée a même eu lieu entre les deux camps » tant s’aggrave les choses prône l’unité nationale.