Haïti/Economie : Vers la construction de nouvelles infrastructures industrielles
Neuf (9) nouveaux bâtiments seront bientôt construits au niveau de la Société nationale des parcs industriels (Sonapi), une entreprise immobilière appartenant à l’Etat haïtien. L’annonce a été faite, ce 22 décembre 2009, par Jean Kesner Delmas, directeur général de la Sonapi.
Les travaux de construction de ces nouvelles infrastructures industrielles doivent coûter à l’Etat haïtien environ 7.5 millions de dollars américains.
La Banque interaméricaine de développement (BID) a déjà octroyé une contribution de 3.5 millions de dollars, précise Jean Kesner Delmas. La cérémonie de lancement de ces travaux s’est déroulée le 18 décembre dernier en présence du président de la BID, Luis Alberto Moreno.
Le directeur général de la Sonapi a par ailleurs informé de la signature d’un accord de coopération technique entre la BID et l’Association des industries d’Haïti (ADIH) en vue de permettre aux industries éligibles de mieux écouler leurs produits sur le marché américain.
Cet accord s’inscrit dans le cadre de la loi HOPE II qui autorise l’entrée aux Etats-Unis d’Amérique, sans droits de douane, de vêtements fabriqués en Haïti.
Cette assistance de la BID ne concerne pas directement la Sonapi, selon Jean Kesner Delmas.
A l’avenir, la Sonapi prévoit d’implanter de nouveaux parcs industriels dans le pays, dont un à Gressier (au sud de Port-au-Prince) et trois autres dans les communes frontalières de Belladère, Anse-à-Pitres et Ouanaminthe.
A l’heure actuelle, 18 mille ouvriers et ouvrières travaillent dans les différentes entreprises établies à la Sonapi, révèle Jean Kesner Delmas. Il n’y a pas longtemps on estimait à 14 mille le nombre de personnes qui vendent leurs forces de travail dans les industries installées à la Sonapi, fait remarquer M. Delmas.
La Sonapi dispose de 47 bâtiments au niveau de ses trois sites. Pour la location d’un immeuble, les investisseurs doivent débourser, chaque année, 60 mille dollars américains, selon le directeur général de cette entreprise publique. [dol/rv2000]
Oke!!! pep la pral jwenn ti travay se vre. Pousye pye pibon lontan pase pousye deye’n…Men nou dwe mete sa nan kalbas tet annou, ke esklavaj degize sa’a, pral yon lanfe pou zokotof lestonmak malerez nou yo, tankou faktori boul bizbol nan dezyem osnon twazyem avni Boloss la.
Kidonk, mezanmi, nou dwe met antet ke depi yo di FAKTORI se pa lot bagay ke EGSPLWATASYON net alkole.
Komande yo pral pouse kou dyondyon. Pouki? Reg jwet la, se kraze fre’w ak se’w la nan avantaj mesye neg koule ronma flanbe, osnon bouyi.
Mesi.
12/22/2009
Fre’m ne soyez pas si negatif. Tous les pays indutrialises on des manufactures et ceux et celles qui y travaillent sont payes generalement presqu’au niveau de salaire minimun. Avan’ou mache fok ou kon’n kouri brother. Ou pa gen nan men’w ou paka kouri rele explotasyon, kidonk ou prefere rete san maje ke’w manje aranso. ahahah! li le pou nou realis. aranso ka touye grangou nan vante men grangou bay move maladi e men’m ko touye’w.
Maje tikal jodi epi prepare’w pou manje pi gro demain, se sa nou bezouin motre tout moun’n pito.
Fraternellement votre
Pierre tu peux toujours venir sur le terrain pour faire mieux…Si les autres sont des colons à esclaves, toi tu serais un investisseur humaniste qui améliorerait la situation des ouvriers. Bonne chance!