Mideleine Lubins, la première actrice porno connue de la communauté haïtienne (CINÉMA)
Mideleine Lubins a eu l’audace de briser un tabou en devenant la première actrice de porno connue dans la communauté haïtienne de Montréal. La jeune femme qui, est pourtant mère d’un enfant, avions-nous appris, s’est illustrée en jouant le rôle principal dans un long-métrage intitulé «Men rat la», l’équivalent en français de «Voilà la pute!».
Ce film produit, et scénarisé en partie, par Carine Delerme, l’ex-épouse du pionnier du jeune cinéma haïtien, Reynald Delerme alias Baba, met la Montréalaise en vedette en la faisant passer pour quelqu’un ayant fui le Québec dans l’unique but de multiplier ses conquêtes sexuelles en Floride.
Avide de «performance sexuelle»
Prétextant que les Montréalais d’origine haïtienne offrent «un service en-dessous de la moyenne», la jeune femme en chaleur a fait le saut vers Miami pour se rendre compte finalement, à sa grande surprise, à en croire le récit fictif, que les jeunes haïtiens de Miami ne pouvaient pas excéder «une minute, voire deux minutes de pénétration vaginale».
Ces Floridiens, de leur côté, découvrant l’appétit sexuel quasiment insatiable de Mideleine, n’y voient que du feu, en se demandant, «est-ce parce qu’il fait si froid au Québec que les Montréalaises sont aussi chaudes?»
Controverses déjà à Montréal
L’histoire porte la griffe de Mideleine Lubins, elle-même qui, en passant, n’a aucun lien de parenté avec le jeune cinéaste montréalais Jean-Rony Lubin auprès de qui elle avait décroché récemment un rôle secondaire dans son film à succès «SOS ZOKLO», a confirmé ce dernier.
Ce long-métrage n’est pas, non plus, une réplique de «Fan-m se rat (les femmes sont des rats)» du prolifique réalisateur haïtien de Montréal Wilfort Estimable. Si «Men rat la» n’est évidemment pas du «hard porn», ce film, exclusivement en créole, dsitribué par «Mas konpa» de Miami, est toutefois vivement déconseillé aux moins de 18 ans, parce que les scènes sont crues, a averti l’Agence de presse «Média Mosaïque».
Dans le milieu cinématographique haïtien de Montréal, si certains saluent le culot de la jeune actrice, (de se dénuder et de faire du sexe, pour de vrai, avec de nombreux partenaires, non pas sans condom, sous les feux des projecteurs), d’autres évoquent paradoxalement le grand risque encouru par Mideleine Lubins: celui d’hypothéquer la réputation de sa progéniture.
Source: Média Mosaïque
C’est un pari où elle risque tout. Mais elle peut y gagner autant qu’elle risque de perdre. Je suis certain que d’autres filles suivront. Elle d’ailleurs pas la pionnière dans ce domaine. Il suffit de visiter ce site:voksal.com et on verra combien nous avons de rats chez nous! Mete nan kò pitit!
il faut faire comprendre à notre communauté que les scenes présentées à l’écran ne sont que le produit fini d’une suite de montage, il n’y a rien de vraie dans les actes posés par tel acteur ou telle actrice ce n;est de la fiction des jeux de camera. En d’autre terme faire l’éducation cinématographique de nos compatriotes afin de les aider à mieux comprendre le cinéma
merci
Je ne pense pas que c’est amusant de monter un film pareil. Le public haitien n’est pas encore pret pour une telle chose et notre culture n’est aussi varie dans ce sense pour une telle penetration. Je pense qu’il serait preferable pour la jeune actrice de prendre un autre chemin puisqu’elle a l’audace necessaire pour en etre une bonne professionelle dans le domaine cinematographique.
Je t adore MDLN tu n’es pas comme ces hypocrites qui vont a l’glise juste pour exhiber des vetements neufs mais au fond ,ne sont pas amis de Dieu.toi je te donnerais le monde avec tous ces idiots de gens moraux pour en faire a ta guise MIMI.JTM sincerement.
Carlolo .
J’aime pas dutout le titre de l’article en disant qu’elle a eu l’audace, elle est toute a fait profesionelle.Ce truc que l’on n’est pas encore pret c’est du foutaise, parce qu’en Haiti il y a tout on s’exhibe comme les blancs en meprisant notre propre culture, il y a le kidanaping, des bordelles et tous, pourqoi pas la pornographie.Votre article n’est pa dutout moraliste c’est plutot de l’hipocrisie
Lè manmanw wèw fè jan de vi sa. Sal diw