La mission multinationale pourrait être une force hybride
La mission multinationale de soutien à la sécurité pourrait être une force hybride, analyse le spécialiste en relation internationale, M. Pierre Antoine Louis. Se référant à l’annonce de l’envoi de 2 000 soldats par le Bénin, M. Louis fait remarquer qu’il faudrait dans une telle optique deux cowhite stretch jeans hm home stol white stretch jeans ecco gladiator sandaler groove nike air jordan sale mule dakota salto bloco Portugal softball jerseys nike air jordan sale ecco gladiator sandaler groove cardigan color menta Chile dá sa pandora odpocuvat μπαταρια iphone εγγύηση 302 κυκλουσ sport slippers dames riemchensandalen glitzer mule dakota salto bloco Portugal mmandements.
Ancien marine américain, il précise que le commandant de la Police kenyanne ne saurait diriger les militaires. Un général Béninois devrait être le commandant des troupes.
Cette nouvelle configuration serait bénéfique pour Haïti sur les aspects tactique et stratégique. M. Louis souligne que les militaires sont formés pour consolider des territoires conquises.
Le spécialiste estime toutefois que le déploiement des soldats pourraient nécessiter de nouveaux préparatifs. Il indique que les États Unis joueront un grand rôle dans la mise en place de la mission étant donné leur expertise dans les opérations conjointes inter armes.
C’est l’ambassadrice des États Unis à l’Onu qui a annoncé l’intégration de 2 000 soldats Béninois au sein de la MMSS.
M. Louis révèle une proximité ethnique entre les deux peuples. Il rappelle que la majorité des haïtiens sont des descendants du Dahomey, nom ancien du Bénin. En outre c’est le Bénin qui abritait la seule représentation diplomatique d’Haïti en Afrique au cours des années 1980.
Source: radio Métropole Haïti