Haïti : Les camps de déplacés, cachette de bandits armés, selon le maire de Delmas

pic_8677Plusieurs camps de sinistrés du séisme du 12 janvier 2010 sont utilisés par des bandits armés comme cachettes après avoir commis des actes de banditisme dans la capitale haïtienne, a révélé mardi Wilson Jeudy.

Par ces révélations, l’édile de la commune de Delmas voulait ainsi apporter des précisions sur l’expulsion brutale, la semaine dernière, de personnes ayant occupé, depuis le séisme dévastateur, la place publique située au carrefour de l’Aéroport, à Delmas.

Ces personnes ont été contraintes, lundi dernier, de vider les lieux sur intervention brutale de la Mairie de Delmas accompagnée de policiers nationaux.

« Il s’agit d’une décision administrative », s’est défendu Wilson Jeudy qui a démenti avoir agi sur ordre du président Michel Martelly.

Parallèlement, un projet de relocalisation des 28 mille sinistrés sans-abri se trouvant au Champ-de-Mars sera bientôt exécuté.  Le terrain destiné à accueillir ce projet a déjà été identifié, selon le Maire de Port-au-Prince, Muscadin Jean Yves Jason.

L’édile de la capitale affirme avoir déjà soumis le projet au  président de la République.

Une pensée sur “Haïti : Les camps de déplacés, cachette de bandits armés, selon le maire de Delmas

  • 1 juin 2011 à 6:08
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    ON POURRAIT ÉGALER LES CAMPS A LA MAIRIE DE DELMAS…

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  • 1 juin 2011 à 7:31
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    Konpatryot,nou salwe’w!

    Ansyan bandi legal ki tap fonksyone kom bandi ilega e ki vin JWEN’N YON CHAPO bandi legal!

    TET KALE!!!!!!!!!!!!!!

    SAK KAPAB KAP KONPRAN’N!

    SA KA LA WE’L!

    DESSALINYENMAN NOT!

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  • 1 juin 2011 à 7:51
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    Quand cela va mal on parle du temps du tropisme, un temps ou tout semble mélange et on ne comprend rien. Plusieurs pays etablits actuellement avaient essaye des systemes et ideologies mais comme disait Gamaliel au sanhedrin juifs si cela venait des hommes, ne vous fatigues pas cela ne perdure pas et si cela venait de Dieu, vous ne pouvez pas le combattre. Meme avec l’age mur d’Haiti elle n’est pas etablit, donc cela arrive que nous essayons plusieurs système mais cela ne perenne pas. Nous avons essaye le système Caco (Cacorisme) cependant sous peu, il a été decourage et tue dans l’œuf. Le système zenglen est venu (Zenglenisme) il ne perdura pas non plus. Le macoute (Macoutisme) il a dure le temps que son impositeur est reste au pouvoir et apres on dit macoute pas la-dedans. Hier encore, nous avons fait l’experience du lavalas (Lavalasisme) il ne dure que le temps ou son chef a passe a la rene. Aujourd’hui, nous sommes en train de faire l’experience d’un système de bandit (Banditisme ou milice Rose et Blanc roseblanchisme), je ne pense pas qu’on a le droit d’etre peur puisque celui-ci s’annonce etre plus saccagisse/ saccageant que les autres, aurait-on besoin d’un Gamaliel pour nous dire laissez-le, il ne durera que le temps d’une fleur. Peut-etre que ce n’est pas la duree qui nuira mais les effets irrespectueux qui semblent l’accompagner et l’ignorance du nombre de victimes qu’il en fera. Pour donner raison au système, il faut toujours certaines accusations, mais il faut dire quel mal gaiete si triste quand ce sont les sinistres qui doivent payer le pot casse. Ils s’attendent a des logements mais on les donne des accusements. Nous les accusons certes, et la vraie question n’a jamais été posee Est-ce qu’on a batit des logements sociaux depuis le temblement de terre pour le nombre qui a été detruite et delabre? Et si les gens partent ou est-ce qu’elles vont aller, dans des bidonvilles de Morne l’hopital ou dans la gehenne de Delmas ? Naturellement on veut dequintupler Port-au-Prince mais peut etre qu’on en decimera aussi la politique parce que le surchargement de ce port-au-prince fait le bonheur des politiciens qui profite de l’etat de la faim des gens pour acheter a vil prix des elections pour tous les postes a defaut d’etre competemment forme pour des postes les plus eleves. En tout cas en haiti tout est possible meme a celui qui ne croit pas…. Sauf il faut commencer a fredonner « Helas quelle douleur, rempli mon cœur fait couler mes larmes… »

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  • 1 juin 2011 à 8:54
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    Bon Travail Mr. Jeudi.
    Il va être une erreur grave que des gens venant des provinces et se faire passe comme des victimes du tramblement de terre. L’etat doit fait beaucoup d’attention car, les activités des tentes deviennent un commerce ou il ya des gens qui ont des maisons mais se gardent toujours sous les tentes en esperant de trouver une maison ou de l’argent de l’etat. Il y en a d’autres qui ont plus de 2 tentes et les louent. Il faut qu’on demande a tous de retourner sur la place de leur maison et de la, on peut les enregistrer pour des nouvaux abris. Pap ne peut pas continuer a recevoir des bidonvilles; si non Haiti aura une capitale de bidonvilles et ce ne sera pas bon pr l’avenir de ce pays.

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  • 1 juin 2011 à 6:42
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    BOn travail Mr Jeudy
    SI NOU VLE SORTI NAN SITUATION SAL SA NOU OBLIJE PRAN DES DECISIONS ET M PATA RENMEN KEU PERSONNES PANSE KEU DECISIONS YO AP FASIL MEN NAP OBLIJE PRAN YO.
    SI NOU BEZWEN INVESTISSEURS VINI NAN PEYI NOU AK KI ATTIRANS LAP VINI AK TANTES YOKI TOUPATOU NAN CAPITAL LAN , M PANSE KEU EVACUATION AN SE YON BELLES DECISIONS LI DUR MAIS ON EST OBLIGE ……NOU PA KA AP PANSE SEULEMENT POU PAUVRE EBIEN NAP TOUJOURS RETE NAN PAUVRETE ALA TRAKA PAPA ….

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  • 2 juin 2011 à 12:31
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    On se sert souvent d’une situatiom misérable pour réaliser bien d’autres choses. A Présent en Haïti , même les pauvres utilise leurs conditions de vie pour sortir de la pauvreté . Et les bandits qui ne font que penser comment concrétiser leur rêve . Ne peuvent -ils pas utiliser les tentes pour régler ses affaires . En tout cas , Le maire avait bien réagi. Ayisyen parèy mwen yo , ann sispann itilize ideoloji nou pou n konbat moun k’ap fè sa ki byen. li lè li tan pou’n fini ak dilèm rasis . Yon jou sifi pou yon moun chanje . Mete Bopndye devan, fè tankou tout lot pèp yo; nou se moun , se nan Bondye nou soti.

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