Santé-Banque Mondiale: 150 millions de dollars pour lutter contre le zika en Amérique latine

Source hpnhaiti.com

Le groupe Banque mondiale va financer à hauteur de 150 millions de dollars, la lutte contre le Zika dans la région Amérique latine. cette mesure vise à atténuer l’impact de cette épidémie sur l’économie de la région qui s’élève déjà à 3.5 milliards de dollars. Haïti étant touchée par le virus devra participer à cette campagne. la question aujourd’hui, quelle sera la quote-part d’Haïti?

Lire le communiqué:

Groupe Banque mondiale annonce 150 millions de dollars pour lutter contre le Virus Zika en Amérique latine et dans les Caraïbes

L’impact économique régional initial devrait être modéré mais nécessite des mesures urgentes pour mettre un terme à la propagation du virus

Washington, le 18 Février, 2016 – Afin de soutenir les pays touchés par le virus Zika en Amérique latine et dans les Caraïbes, le Groupe de la Banque mondiale a annoncé 150 millions de dollars immédiatement disponible.

Ce montant est basé sur la demande de financement des pays actuels et fait suite à un engagement intensif avec les gouvernements des pays de la région, y compris l’envoi d’équipes d’experts techniques dans les pays touchés. Si un financement supplémentaire est nécessaire, la Banque mondiale se tient prête à augmenter rapidement son soutien.

Cette annonce a été accompagnée par la publication de projections initiales montrant que l’impact économique à court terme du virus Zika sur la région sera modeste, un montant total de 3,5 milliards de dollars, soit 0,06% du PIB en 2016. Le Groupe de la Banque mondiale a noté, toutefois, que ces premières estimations sont basées sur une réponse rapide et bien coordonnée de la communauté internationale au virus Zika. L’étude suppose également que les risques les plus importants pour la santé – et les comportements pour éviter la transmission – sont pour les femmes enceintes. Cela fait suite à la déclaration du 1er Février de l’Organisation mondiale de la santé sur les liens suspectés entre l’infection par le virus Zika pendant la grossesse et les cas de microcéphalie chez les nouveaux nés.

Même avec ces hypothèses, cependant, un groupe de pays qui dépendent fortement du tourisme – notamment dans les Caraïbes – pourrait subir des pertes de plus de 1 pour cent du PIB et pourrait nécessiter un soutien supplémentaire de la communauté internationale pour endiguer l’impact économique du virus. Comme de nouvelles connaissances continuent à émerger à propos de la transmission et l’impact du virus Zika, ou si les perceptions publiques de risques de Zika augmentent fortement, les impacts économiques seront réévalués.

«Notre analyse souligne l’importance lire la suite sur hpnhaiti.com

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