Les titres de l’actualité sur Vision 2000
Lancement ce mardi à Distinction Night Club, en Plaine, de la Conférences des forces politiques, sociales et territoriales. Cette activité de la plupart des groupements de l’opposition vise à concevoir une vision commune en vue de proposer une alternative au régime en place.
Si les instigateurs de ces assises ont prêché l’unité de toutes les forces vives dites de l’opposition, la réalité en est tout autre. A titre d’exemple, le Groupe 77 se désolidarise de ce mouvement pour n’être pas inclusif. André Michel déplore que certaines grandes figures politiques ne soient pas invitées à ce forum.
Le pasteur Jean-Chavannes Jeune ne voit pas d’un bon œil la mise en place des Centres d’opérations et de vérifications. Le candidat à la présidence déplore le fait qu’une telle opération a été envisagée sans l’implication des partis politiques participant au processus électoral.
Les employés du ministère de la Santé publique et de la population qui sont candidats aux prochaines élections sont invités à produire une demande de mise en disponibilité pour toute la période des élections. Un délai expirant au 28 septembre leur est accordé pour remettre tout matériel du ministère et en leur possession.
Le président de la Commission nationale de désarmement, démantèlement et réinsertion dénonce le manque de coordination au niveau des pouvoirs dans le cadre de la lutte contre l’insécurité dans le pays. Les dernières rencontres élargies de planification remontent à Jacques Édouard Alexis, fait savoir Alix Fils-Aimé. Le responsable de la CNDDR fustige également l’attitude de la MINUSTAH qui, elle aussi, n’a aucun plan défini en ce sens, s’offusque-t-il.
Par ailleurs, le patron de la CNDDR note que beaucoup de jeunes intègrent les gangs armés depuis un certain temps. De nouvelles poches d’insécurité ont été constituées suite au séisme du 12 janvier. De plus, les malfrats expérimentent d’autres formules pour commettre leurs forfaits, a précisé Alix Fils-Aimé.
Huit mois après le séisme dévastateur du 12 janvier, beaucoup reste à faire pour rendre aux sinistrés leur dignité, selon la POHDH. La Plateforme des organisations haïtiennes de droits humains déplore la promiscuité qui prévaut dans les tentes. La POHDH prévoit une rentrée des classes extrêmement difficile en raison de la précarité de la situation économique des pères et mères de familles. [rv2000]
svp.mwen pa konnn sak fe pep la pa leve kampe chak jwou pwan la ri voye preval ale . fe menm jan ke yo te voye aristid , avril nanfi babi doc ale pran la ri pou yo ka fini tuye ti res la ki rete a fe preval pwan prizon w exsil si w we pep sa pa pwan la ri yo se makak sil vou plet pwan tet yo di yo voye preval ale yo pa ka finn tuye ti res la ki rete a preval se kaka oke
Allo Tony,
Tu n’as aucune vision que le désordre. Depuis 1804,
tu baignes dans le désordre, dans le <> et le pillage sans jamais vraiment penser à ce pays qui est nôtre. Qu’est-ce que ça nous rapporte si ce n’est la misère, le sous-développement et l’éternel recommencement. Je me rappelle que, sous le présidence de Jean-Duvalier, il y avait la compagnie de transport public CONATRA. Parce qu’on a déchouqué Jean-Claude,on a déchouqué la compagnie. Il y avait des téléphones publics dans les rues de P-au-P comme dans les grandes villes du monde, on les a déchouqués parce qu’on a déchouqué Jean-Claude. Il y avait Service Plus, sous la présidence Aristide, on l’a déchouqué. Il y a des et des exemples comme ceux ci-haut mentionnés. Nous sommes plutôt excellents dans l’apologie du désordre. Mais penser à des choses pouvant contribuer au développement de notre pays n’est notre point fort. Au lieu de souhaiter que le peuple prenne la rue pour mener des opérations de déchoukage (Dieu seul sait s’il des choses à déchouquer), pourquoi ne pas faire l’apologie de la formation de « konbit » pour nettoyer P-au-P et extirper les restes de nos frères des décombres plutôt que d’attendre que le blanc le fasse à notre place, ce blanc que nous détestons tant même si nous adorons ses millions? Ni Préval, ni Jean-Claude, ni Aristide, ni Namphy… ne sont la source de nos maux. Nous sommes la source de nos maux et responsables de notre irresponsabilité. Car nous n’aimons pas notre pays, toi encore moins, et nous ne consentons pas à trousser nos manches pour travailler à son développement. Nous n’avons aucun projet pour ce pays si ce n’est nous enrichir à ses dépens.