Haïti/Présidentielle : Des candidats évincés exercent leurs droits de recours
Des candidats écartés par le Conseil électoral provisoire (CEP) dans le cadre du scrutin présidentiel du 28 novembre exigent leur réintégration dans le processus électoral.
Parmi ces personnalités figurent la Mairesse de Pétion-Ville, Claire Lydie Parent, l’Ambassadeur d’Haïti à Washington, Raymond Alcide Joseph et Jacques Philippe Eugène.
L’ex-Fugees Wyclef Jeannel Jean menace, lui aussi, de porter son dossier par devant la Commission interaméricaine des droits de l’homme après le rejet de sa candidature pour un problème de résidence en Haïti.
Si Claire Lydie Parent et Jacques Philippe Eugène ont déjà exercé leurs recours au Bureau du CEP à Delmas, Raymond Joseph promet d’utiliser toutes les voies de recours contre le CEP.
L’ex-représentant d’Haïti à Washington se plaint du fait que l’institution électorale n’a fourni aucune explication sur son éviction qu’il qualifie d’arbitraire.
Son défenseur, Pierre-Michel Hyacinthe, estime que la mise à l’écart de M. Joseph est une violation de ses droits fondamentaux.
Le juriste exige que l’institution électorale précise les motifs de sa décision.
De son côté, l’édile de Pétion-Ville affirme que tous ses documents sont corrects. Claire Lydie Parent, qui intervenait à l’espace « Invité du Jour » sur Vision 2000, se déclare confiante quant à sa réintégration dans le processus électoral.
Selon une source proche de l’institution électorale, le document de la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif (CSC/CA) soumis par la Mairesse de Pétion-Ville n’est autre qu’une demande d’audit sollicitée auprès de la CSC/CA. [rv2000]
Le cep n’a aucun doit de rejetter a Wyclef car le pays n’a plus besoin des hommes ki pretent de changer le pays mais plutot ceux ki ont de bonnes vouloir et voir le changement d’haiti des toutes ces formes un homme come Wyclef………