Haïti/Elections : Les bailleurs de fonds invités à respecter leurs promesses

180px-hedi_annabi Le chef civil de la mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah), Hédi Annabi, exhorte les pays donateurs à tenir leurs promesses envers Haïti concernant le financement des élections sénatoriales et législatives du 28 février 2010.

Ce scrutin doit coûter 25 millions de dollars. La contribution haïtienne, de l’ordre de 300 millions de gourdes (7 millions de dollars américains), est déjà disponible.

Mais, la communauté internationale n’a pas encore procédé au décaissement des 18 millions de dollars promis.

D’un autre côté, le représentant du secrétaire général de l’ONU pense qu’il est du devoir de tous les acteurs politiques de veiller au bon déroulement de ce scrutin qui permettra aux 4.3 millions de citoyens inscrits sur la liste électorale d’élire 99 députés et 11 sénateurs

Hédi Annabi a par ailleurs réitéré l’engagement de la Minustah de continuer à appuyer le processus électoral en Haïti. [dol/rv2000]

Une pensée sur “Haïti/Elections : Les bailleurs de fonds invités à respecter leurs promesses

  • 5 janvier 2010 à 11:29 AM
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    Hedi Annabi ap mande pou kominote intenasyonal bay lajan li te promet,nan ka sa-a li pa blan li kapab foure bouch li nan zafe Ayisyen,men le-l mande pou bagay yo fet byen le sa-a se blan l-ap ye li pa-p gen dwa foure bouch nan zafe Ayisyen.
    moun k-ap viv yo a we .

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  • 5 janvier 2010 à 7:20 PM
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    Il est temps pour que nos dirigeants cessent de quemander aux autres nations. Nous devons avoir une politique de desenclavement du pays par la construction des routes,de l’electricite… Nous devons avoir la bonne gouvernance, un systeme judiciaire independant, l’union de tous les fils et filles d’Haiti, une diplomatie dans le sens plein du terme, des institutions ayant des cadres competents devoues a la cause de notre pays.Il faut aussi eduquer le peuple, organiser des elections libres ,honnetes et democratiques avec nos moyens sans quemander…

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  • 5 janvier 2010 à 7:31 PM
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    Les dirigeants de notre pays doivent comprendre qu’on ne peut pas parler de la democratie si les problemes sociaux ne sont pas resolus. C’est ce que Antenor Firmin avait compris quand il ecrivait son ouvrage titre: « L’Effort dans le mal ».

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  • 6 janvier 2010 à 3:27 AM
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    Hédi Annabi , de nationalité tunisienne, est le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en Haïti et Chef de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH). Depuis son arrivée à la direction de cette institution en 2007, quant à l’existence de l’ONU, les haitiens en souffrent et sont même prêts à chanter son libera.
    HEDI ANNABI, vient de la Tunisie. Un pays dirigé par le dictateur ZINE EL ABIDINE BEN ALI . Avec le soutien de la France, il a pris le pouvoir en Tunisie le 7 novembre 1987 à la suite d’un complot médical contre le président BOUGUIBA. Réélu le 25 octobre 2009, Ben Ali a passé le test de la présidence pour la 9ième fois en totalisant 22 ans de pouvoir. C’est une dictature indéracinable que HEDI ANNADI n’ose pas y parler voire d’y toucher.
    Aujourd’hui, cet homme vient de nous dire « qu’il est du devoir de tous les acteurs politiques de veiller au bon déroulement de ce scrutin».Il parle bien sur des élections d’exclusion annoncées par son ami personnel René Préval. L’argent que l’ONU dépense pour maintenir ses troupes en Haiti depuis 2004 aurait pu servir au développement pays.
    HEDI ANNABI ne se rend-il pas compte que le pluralisme politique n’existe pas dans son propre pays, alors qu’il aimerait nous imposer en Haiti les mêmes méthodes antidémocratiques. Il est normal qu’il donne une bénédiction à Preval à l’instar des élections frauduleuses de BEN Ali.
    LE chef de la MINUSTAH en Haiti croit pouvoir mettre Haiti à genou, mais je pense que le temps de BOOBMAM est arrivé pour que l’union soit faite et ce, en dehors de toute allégeance politique. Aujourd’hui, il ne devait exister ni macoute ni Lavalas, ni opposition afin d’ouvrir un espace de solidarité pour sauver MANMAN AYITI CHERI.
    Je crois que vous êtes en mesure de faire la différence entre l’arrogance de Hedi Annadi et le cours d’histoire de Madame TAUBIRA.

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  • 6 janvier 2010 à 3:54 AM
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    CONDAMNATION DE LA VIOLENCE AU PAYS DE Hedi Annadi
    Communiqué de presse du 26 novembre 2009
    La condamnation de Taoufik Ben Brik à six mois de prison ferme, suite à une manipulation policière, est un acte d’une extrême gravité. Il nous rappelle qu’une dictature féroce menée par le président Tunisien Ben Ali maintient la Tunisie sous une chape de plomb.
    Taoufik Ben Brik paye aujourd‚hui le chèque en blanc qu’a signé la France à Ben Ali, en fermant constamment les yeux sur l’état réel de la Tunisie. Ainsi, il y a un an, Nicolas Sarkozy déclarait que « l’espace des libertés progressait » en Tunisie. Il y a tout juste un mois Nicolas Sarkozy félicitait « sincérement » Ben Ali suite à sa réélection truquée.
    Depuis cette rééléction les intimidations, menaces, coups, arrestations pleuvent sur les démocrates tunisiens. Le Quai d’Orsay peut bien tardivement regretter la condamnation de Ben Brik. Il n’a rien fait pour l’empêcher.
    Les Verts français adressent leur soutien Taoufik Ben Brik, ses proches, les membres du parti Tunisie Verte et l’ensemble des démocrates qui luttent contre la dictature de Ben Ali. (source : http://www.nawaat.org et http://www.comlive.net)

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  • 6 janvier 2010 à 3:58 AM
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    LE REGIME DE TERREUR AU PAYS DE Hdi Annadi
    A défaut de pouvoir manifester physiquement au sein des espaces publics tunisiens, nous mettons à profit le Web pour tenir une manifestation permanente afin d’exprimer notre ras-le-bol à l’égard du régime dictatorial Tunisien de EL ABIDINE BEN ALI.

    Littéralement «Ben Ali, il suffit ! » ; ces expressions en arabe dialectal tunisien visent à faire passer un message au dictateur pour lui signifier de lâcher le pouvoir, parce que c’en est assez. Cette manifestation n’est que l’émergence d’une nouvelle forme de contestation, pour nous, Tunisien(e)s, qui avons toujours été privé(e)s d’accéder librement à l’information indépendante et qui sommes violemment empêché(e)s de manifester pacifiquement en Tunisie. (www.comlive.net)

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