Le Secrétaire d’État américain, Antony J. Blinken, salue chaleureusement la décision du gouvernement kenyan de prendre la tête d’une force multinationale qui viendra en aide à Haïti dans son combat contre la violence des gangs et l’insécurité qui gangrènent le pays. Dans cette étape cruciale, un tournant majeur se profile, et le ton du discours a changé. Dans un communiqué officiel en date du 1er août, Antony Blinken exhorte les instances haïtiennes à agir promptement pour élargir le consensus politique et rétablir l’ordre démocratique, conformément à la Charte démocratique interaméricaine. Les États-Unis, résolus à œuvrer aux côtés des partenaires d’Haïti, se montrent impatients de voir ce processus aboutir, comptant notamment sur une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour approuver le déploiement de la force multinationale en question. C’est une alliance solide que promet Antony Blinken, qui réitère l’engagement indéfectible de la Maison Blanche envers le peuple haïtien. Dans un geste de gratitude envers la Communauté des Caraïbes (CARICOM), le Groupe d’Éminentes Personnalités (EPG) et l’Organisation des États américains (OEA), à travers son Groupe de Travail sur Haïti, présidé par Trinidad and Tobago, le Secrétaire d’État américain souligne leur soutien essentiel dans ces efforts cruciaux. Déjà, l’engagement des États-Unis envers cette cause se concrétise. Aujourd’hui, ils s’engagent officiellement à fournir des ressources pour soutenir la force de police multinationale dirigée par le Kenya en Haïti. M. Miller, porte-parole du département d’État, annonce l’intention des États-Unis de présenter rapidement une résolution au Conseil de Sécurité pour approuver la formation de cette force vitale. De son côté, l’Ambassadeur du Canada en Haïti, Sébastien Carrière, affirme que le gouvernement canadien se tient prêt à collaborer avec le Kenya et tous les partenaires impliqués, afin d’assurer le succès de cette mission cruciale, sous le mandat du Conseil de sécurité des Nations-Unies. Les regards sont désormais tournés vers l’opposition politique haïtienne, dont la démarche en faveur d’un Exécutif bicéphale ou monocéphale est remise en question par l’appel en faveur du consensus national pour une transition inclusive et des élections transparentes, soutenu par les partis qui appuient Ariel Henry. L’avenir politique du pays est en suspens, tandis que cette nouvelle dynamique diplomatique risque de susciter des réactions contrastées au sein de la classe politique haïtienne.

Le Secrétaire d’État américain, Antony J. Blinken, salue chaleureusement la décision du gouvernement kenyan de prendre la tête d’une force multinationale qui viendra en aide à Haïti dans son combat contre la violence des gangs et l’insécurité qui gangrènent le pays. Dans cette étape cruciale, un tournant majeur se profile, et le ton du discours a changé.

Dans un communiqué officiel en date du 1er août, Antony Blinken exhorte les instances haïtiennes à agir promptement pour élargir le consensus politique et rétablir l’ordre démocratique, conformément à la Charte démocratique interaméricaine. Les États-Unis, résolus à œuvrer aux côtés des partenaires d’Haïti, se montrent impatients de voir ce processus aboutir, comptant notamment sur une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour approuver le déploiement de la force multinationale en question.

C’est une alliance solide que promet Antony Blinken, qui réitère l’engagement indéfectible de la Maison Blanche envers le peuple haïtien. Dans un geste de gratitude envers la Communauté des Caraïbes (CARICOM), le Groupe d’Éminentes Personnalités (EPG) et l’Organisation des États américains (OEA), à travers son Groupe de Travail sur Haïti, présidé par Trinidad and Tobago, le Secrétaire d’État américain souligne leur soutien essentiel dans ces efforts cruciaux.

Déjà, l’engagement des États-Unis envers cette cause se concrétise. Aujourd’hui, ils s’engagent officiellement à fournir des ressources pour soutenir la force de police multinationale dirigée par le Kenya en Haïti. M. Miller, porte-parole du département d’État, annonce l’intention des États-Unis de présenter rapidement une résolution au Conseil de Sécurité pour approuver la formation de cette force vitale. De son côté, l’Ambassadeur du Canada en Haïti, Sébastien Carrière, affirme que le gouvernement canadien se tient prêt à collaborer avec le Kenya et tous les partenaires impliqués, afin d’assurer le succès de cette mission cruciale, sous le mandat du Conseil de sécurité des Nations-Unies.

Les regards sont désormais tournés vers l’opposition politique haïtienne, dont la démarche en faveur d’un Exécutif bicéphale ou monocéphale est remise en question par l’appel en faveur du consensus national pour une transition inclusive et des élections transparentes, soutenu par les partis qui appuient Ariel Henry. L’avenir politique du pays est en suspens, tandis que cette nouvelle dynamique diplomatique risque de susciter des réactions contrastées au sein de la classe politique haïtienne.

 

 

 

Source: Radio Metropole Haiti

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