Les brasseurs de la ville: le roman de Port-au-Prince

Source Le Nouvelliste

Servi par une écriture «jazzée», ce roman est un trésor d’astuces.

Au cours de ces dernières années, un jeune auteur nous a été révélé. Son nom: Evains Wêche. À la fois médecin, bibliothécaire, et grand lecteur, ce natif de Jérémie esquisse déjà les contours d’une œuvre littéraire.

Il a fait ses débuts avec le romancier Gary Victor, dans le cadre des ateliers d’écriture. Il a publié dans un collectif Je ne savais pas que la vie serait si longue après la mort (nouvelles, Mémoire d’encrier). Aujourd’hui, il surprend le public avec un premier roman Les brasseurs de la ville, paru chez Mémoire d’encrier en 2014, et repris en France chez Philippe Rey.

Ce que dit l’éditeur :

Port-au-Prince. Une famille, originaire de province, négocie au jour le jour sa survie jusqu’au moment où un certain Erickson, le monsieur riche des beaux quartiers, jette son dévolu sur l’aînée, Babette, belle et jeune adolescente. L’homme prospère soigne sa fortune à travers des activités douteuses. La fille se conformera-t-elle au rêve de sa mère qui l’imagine en Shakira?

Servi par une écriture «jazzée», ce roman est un trésor d’astuces.

« La camionnette traverse Port-au-Prince d’un bout à l’autre. Tout le monde est dedans. Tout le monde brasse la ville. La vie nous pèse, mais chacun invente ses propres pas pour danser avec sa croix», soutient Wêche.

Le journal Le Figaro qualifie Les brasseurs de la ville d’épopée familiale, évoquant lire la suite sur lenouvelliste.com

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *