Les titres de l’actualité du mercredi 6 Février 2019 sur RADIO VISION 2000

La tension est montée d’un cran à la capitale ce mercredi à quelques heures de la grande mobilisation annoncée par l’opposition contre le pouvoir en place. Des tirs nourris ont été entendus au centre-ville particulièrement au bicentenaire alors qu’une vive panique régnait à Lalue où des barricades enflammés ont été dressés.

Cette situation a provoqué la fermeture des succursales des banques commerciales, des supermarchés de la zone et du bureau du service de l’Immigration et de l’Emigration.

La décision de l’Exécutif de décréter l’Etat d’urgence économique a été saluée par les économistes Eddy Labossière et Pierre Marie Boisson soulignant que cela peut aider à améliorer la situation économique actuelle.

Les mesures annoncées, mardi, permettront au gouvernement d’économiser au moins 1 milliard de gourdes par mois et du coup de réduire le déficit budgétaire, à en croire le secrétaire d’Etat à la communication, Eddy Jackson Alexis.

Le Mouvement populaire Dessalinien, MOPOD, se prononce en faveur de la mise en place  non seulement d’un gouvernement parallèle à celui de Jean Henry Céant à partir de ce jeudi 7 Février mais aussi d’un parlement populaire.

Une nouvelle victime dans les rangs de la PNH…….Le policier Pierre Ismaël Monvil a été tué et son frère d’armes Yves Monexil blessé lors de l’exécution, ce mercredi, en milieu de journée, d’un mandat contre« Otcho » ainsi connu, un évadé de prison. Cela s’est passé à Grand carreau, une localité de Villard, 1ère section communale de Dessalines, dans le département de l’Artibonite.

Deux présumés voleurs de motocyclette, Lens et Adams ainsi connus ont été tués puis brulés, mardi soir, par des habitants de Saintard, à l’Arcahaie. Les victimes seraient membres d’un gang baptisé « 9 corbillards ».

Affrontements, ce mercredi, entre les élèves des écoles publiques et des collégiens de Gros Morne. Bilan : 10 blessés dont le directeur du collège Baptiste Péniel. Les élèves des écoles publiques manifestaient dans les rues de la ville pour réclamer le retour des enseignants dans les salles de classe.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *