Haïti : Bill Clinton lance un programme de prêts aux entrepreneurs
Un nouveau programme de prêts pour les entrepreneurs haïtiens a été lancé mardi à Port-au-Prince par l’ex-président américain William Jefferson (Bill) Clinton.
Cette initiative vise à relancer l’économie haïtienne dévastée par le tremblement de terre du 12 janvier 2010.
Un premier prêt de ce programme de 20 millions $ US serait accordé à Caribbean Crafts. Cette entreprise, qui produit des objets d’artisanat destinés à l’exportation, a perdu son atelier dans le séisme.
Selon Bill Clinton, Caribbean Crafts va recevoir un prêt de 415 000$ US, et les intérêts seront reversés dans la caisse du programme pour soutenir les prêts aux autres entreprises.
L’ancien chef d’Etat américain a indiqué que le prêt en question permettrait à l’entreprise d’embaucher 200 employés supplémentaires.
Magalie Dresse, propriétaire de Caribbean Crafts, s’est réjoui de cet appui tout en précisant que ce prêt va aider son entreprise à répondre à la demande de la population.
« L’espace que nous avons est si petit, que nous ne pouvons pas accueillir suffisamment de personnes pour poursuivre les commandes, » a déclaré Mme Dresse.
Pour sa part, l’ex-président Clinton s’est dit «surpris et troublé» par les conditions de prêt imposées aux entreprises haïtiennes, même celles qui ont un dossier de crédit sans tache.
L’un des plus grands freins à la croissance de l’économie haïtienne est le manque de structures offrant des prêts à des conditions raisonnables aux petites entreprises, selon M. Clinton qui mène plusieurs activités en Haïti par le biais de sa fondation et de la Commission intérimaire pour la reconstruction d’Haïti, qu’il copréside, avec le premier ministre Jean-Max Bellerive.
M. Clinton n’est pas au bout de ses surprises, mais cela me surprend également que Bill, un coutumier de notre pays (depuis 1976, date de sa lune de miel en Haïti) ne se rende compte d’un tel état de fait qu’aujourd’hui.
A propos, ou sont donc passé les 1500 kilomètres de route qu’il avait promis en 1994? Avait il pressenti le 12 janvier, et dans ce sens avait préféré attendre avant de mettre ce chantier en route?
Ce cher Oncle Bill, je le comprends aujourd’hui n’a pas toute sa tête à lui, car il faut avoir l’esprit vraiment félé pour avoir souscrit à cet embargo dévastateur qui a tout simplement miné l’économie déjà syphilitique d’Haïti, signé le Executive Order, au Bureau Oval, là ou se prennent les plus grandes décisions mettant en cause le destin du monde, et utiliser ce même Bureau Oval pour ses ébats amoureux. Mais comme Monica n’a pas porté plainte, Bill n’aura pas connu le même sort que DSK