Éphéméride du Jour… 23 juillet 1795, Toussaint Louverture élevé au grade de Général de brigade
Le 23 juillet est le 205ème jour de l’année.
La 30ième semaine de l’année.
On fête Sainte Brigitte, Ainsi que St Apollinaire, St Jean Cassien, St Liboire, St Romula, St Valérien
Sainte-Brigitte Née en Suède, Brigitte se fixa à Rome en 1349 où elle vécut volontairement dans la pauvreté. Renommée pour ses prophéties, elle était consultée par les chefs d’Etat et les papes réfugiés à Avignon. Les Brigitte sont serviables et précises. Leur couleur : le rouge. Leur chiffre : le 9.
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EN HAÏTI, hier à aujourd’hui,
23 juillet 1795 Toussaint Louverture élevé au grade de général de brigade.
La Convention nationale reconnaissant les services rendus par Toussaint l’éleva à ce grade. Trois mulâtres, Vilatte, Rigaud et Louis-Jacques Beauvais, reçurent ce même jour les mêmes distinctions.
Toussaint Louverture (né François-Dominique Toussaint de Bréda le 20 mai 1743 près de Cap-Français, en Haïti, mort le 3 avril 1803 au Fort de Joux, à La Cluse-et-Mijoux dans le Doubs) est le principal dirigeant de la Révolution haïtienne, devenu par la suite gouverneur de Saint-Domingue (le nom d’Haïti à l’époque). Il fut l’un des premiers généraux noirs de l’armée Française dans la lignée du Général Dumas. Il est connu pour avoir été le premier dirigeant noir à avoir vaincu militairement les forces armées d’un empire colonial européen (Espagne) sur le continent américain, à l’inverse de Dumas qui a fait sa carrière sur le continent européen. Né esclave, il s’est démarqué par ses capacités de commandement en menant victorieusement la lutte pour la libération des esclaves haïtiens. Il est ainsi devenu une figure historique d’importance dans le mouvement d’émancipation des Noirs en Amérique.
Il prend part à la Révolution Française à travers la révolte des esclaves sur l’île d’Hispaniola. Il rejoint les forces de la République le 5 mai 1794 et se lance dans la lutte contre la noblesse locale et contre le pouvoir esclavagiste en place dans la colonie de Saint-Domingue. Il finit par chasser les Espagnols de l’île d’Hispaniola et est nommé général de la République française. Il prend progressivement ses distances avec la France après le coup d’État du 18 brumaire organisé par Bonaparte mettant fin à la Révolution française. Louverture proclame alors une constitution autonomiste qui lui donne les pleins pouvoirs à vie. En réaction, Bonaparte lance l’expédition de Saint-Domingue, le combat devient rapidement inégal, Toussaint Louverture perd le soutien de la population et une partie de ses officiers rallie le camp bonapartiste. Le 7 mai 1802, Louverture signe au Cap-Français avec Leclerc un accord qui lui permet de prendre sa retraite sur ses terres d’Ennery en conservant son grade de général. Cet accord stipule notamment que l’esclavage ne sera pas rétabli sur l’île. Toutefois, par la loi du 20 mai 1802, Bonaparte autorise les territoires de la Martinique, de Tobago, de Sainte-Lucie, de l’Île Maurice et de la Réunion à ne pas appliquer les lois abolissant l’esclavage votées durant la Révolution française, ce qui va à l’encontre des principes défendus par les révolutionnaires haïtiens. Trois semaines plus tard, Toussaint Louverture est arrêté et conduit en France. Le 25 août 1802, il est emprisonné au château de Joux, dans le Doubs, où il meurt d’une pneumonie le 7 avril 1803.
L’incompatibilité entre les intérêts haïtiens et le pouvoir bonapartiste conduit à la révolte sous les ordres de Jean-Jacques Dessalines. Les troupes françaises menées par le général Donatien de Rochambeau doivent évacuer le Cap-Français en novembre 1803 après la bataille de Vertières. Dessalines proclame alors l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804.
Son grand-père, Gaou Deguenon, serait un Africain né au Dahomey (actuel Bénin), issu d’une famille royale d’Allada. Déporté à Saint-Domingue, son père Hippolyte Gaou est vendu comme esclave au gérant de l’habitation Bréda, dans la province du Nord, près du Cap-Français. Dans la plantation de ce domaine naît Toussaint, recevant alors le nom de son propriétaire, Bréda, selon l’usage. Son maître, François-Antoine Baillon de Libertat, encourage Toussaint à apprendre à lire et à écrire, et en fait son cocher, puis le commandeur (c’est-à-dire le contremaître) de l’habitation. En 1776, il est affranchi à l’âge de 33 ans. Cette « liberté de savane »lui donne la possibilité, comme l’avait eue son père, de posséder et cultiver un lopin de terre, avec cinq esclaves sous sa direction.
Toussaint, malgré sa petite taille et sa laideur qui lui vaut le surnom de Fatras-Bâton (pouvant se traduire par « le contrefait), possède une réputation d’excellent cavalier et de docteur feuille, guérisseur maîtrisant la médecine par les plantes. Il épouse une femme libre du prénom de Suzanne dont il a deux fils : Isaac et Saint-Jean. Il adopte aussi un premier fils de Suzanne, le métis Placide, et a une nombreuse descendance illégitime.
Lorsque apparaissent les premiers signes de révolte des esclaves, Toussaint est alors à la tête d’une petite exploitation caféière qu’il loue pour 1 000 livres par an à son gendre, Philippe-Jasmin Désir, lui aussi affranchi, dirigeant une famille d’esclaves d’une douzaine de membres. Il ne prend d’ailleurs pas part directement aux premiers évènements de 1791, n’étant alors plus esclave lui-même.
La Révolution française provoque d’énormes répercussions dans l’île. Dans un premier temps, les grands Blancs (riches propriétaires, administrateurs et aristocrates locaux) envisagent l’indépendance, les petits Blancs (paysans, artisans et employés) revendiquent l’égalité avec les premiers et les gens de couleur libres. Les esclaves sont informés de ces évènements, notamment les « nègres de talent » (nègres domestiques qui entendent ce que disent leurs maîtres à table).
En août 1791, les esclaves de la plaine du Nord se révoltent suite à la cérémonie de Bois-Caïman. Toussaint Bréda devient aide-de-camp et médecin de Georges Biassou, commandant des esclaves qui, réfugiés dans la partie orientale de l’île, s’allient en 1793 aux Espagnols, qui l’occupent pour renverser les Français esclavagistes. Toussaint est initié à l’art de la guerre par les militaires espagnols. À la tête d’une troupe de plus de trois mille hommes, il remporte en quelques mois plusieurs victoires. On le surnomme dès lors « Louverture ». Il devient général des armées du roi d’Espagne. Le 29 août 1793, Toussaint lance sa proclamation où il se présente comme le chef noir :
« Frères et amis. Je suis Toussaint Louverture ; mon nom s’est peut-être fait connaître jusqu’à vous. J’ai entrepris la vengeance de ma race. Je veux que la liberté et l’égalité règnent à Saint-Domingue. Je travaille à les faire exister. Unissez-vous, frères, et combattez avec moi pour la même cause. Déracinez avec moi l’arbre de l’esclavage. Votre très humble et très obéissant serviteur, Toussaint Louverture, Général des armées du roi, pour le bien public. »
Mais il excite la jalousie de ses chefs, Jean-François et Biassou, qui fomentent un complot auquel il échappe, mais où il perd son jeune frère Jean-Pierre. Le peu d’attention que lui montrent les Espagnols achève de le convaincre que ceux-ci ne vont pas abolir l’esclavage.
La situation est différente avec les républicains français, en conflit avec l’aristocratie et les « grands Blancs » royalistes. Les commissaires de la Première République française, Léger-Félicité Sonthonax et Étienne Polverel, viennent en effet d’arriver à Saint-Domingue en septembre 1792 pour garantir les droits des gens de couleur. L’île est alors envahie par la marine britannique et les troupes espagnoles, auxquelles se sont ralliés de nombreux Blancs royalistes. Les journées du 31 mai et du 2 juin 1793 font basculer la République Française dans la période de la Terreur et des mesures répressives sont prises afin de détruire toute force contre-révolutionnaire. Ainsi, le 29 août 1793, le même jour que la proclamation de Toussaint, Sonthonax émancipe l’ensemble des esclaves, pour que ceux-ci se joignent à la Révolution. Jean-Baptiste Belley, premier député noir de la République Française est élu député le 3 Vendémiaire de l’an II (24 septembre 1793) et se rend à Paris pour représenter le nord de la colonie de Saint-Domingue. Le 16 pluviôse an II (4 février 1794), la Convention ratifie cette décision en abolissant l’esclavage dans tous les territoires de la République française.
Par l’intermédiaire du général en chef Étienne Maynaud Bizefranc de Lavaux, les commissaires tentent de convaincre Toussaint de rejoindre la République. Ce n’est que le 5 mai 1794, que Toussaint effectue une volte-face. L’armée sous son commandement – qui compte des soldats noirs, mulâtres et même quelques blancs – défait en quinze jours ses anciens alliés espagnols et enlève une dizaine de villes.
En un an, il refoule les Espagnols à la frontière orientale de l’île, et bat les troupes de ses anciens chefs qui leur sont restés fidèles. En juillet 1795, la Convention l’élève au grade de général de brigade.
En mars 1796, il sauve Lavaux, malmené pour sa rigueur lors d’une révolte de mulâtres au Cap Français. En récompense, celui-ci le nomme lieutenant général de la colonie de Saint-Domingue. Le Directoire l’élève au grade de général de division en août 1796. Cependant, le flot des réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique grossit.
Courrier de Toussaint Louverture adressé à Rochambeau en 1796.
Acte écrit de Toussaint Louverture contre l’insurrection de 1801.Son talent n’est pas seulement militaire. Partout où il passe, il confirme l’émancipation des esclaves. Il organise la remise en marche des plantations en invitant les colons à revenir, y compris ceux qui ont combattu contre la République, et ce, malgré l’avis des représentants de l’autorité française. La lutte contre les Britanniques est plus difficile. Toussaint ne peut les déloger du Nord et de l’Ouest. Au Sud, le général mulâtre André Rigaud les contient courageusement, mais sans les repousser.
Le retour de Sonthonax comme commissaire civil en mai 1796 constitue une ombre à l’ambition de Toussaint de diriger seul. Il réussit en septembre 1794 à faire élire Lavaux et Sonthonax comme députés auprès du Directoire afin des les renvoyer en métropole : le premier dès octobre, le second en août 1797. Pour rassurer la France, il envoie ses deux fils aînés, Isaac et Placide, étudier à Paris à l’École de Liancourt (rebaptisée « Institut des colonies ») sous la direction de l’abbé Coisnon.
Grâce aux armes arrivées avec la commission de 1796, Toussaint dispose d’une armée de 51 000 hommes (dont 3 000 blancs). Il reprend la lutte contre les Britanniques, et connaît quelques succès, mais pas décisifs. Fatigués d’une telle résistance, les Britanniques se décident à négocier. Toussaint sait écarter des négociations le dernier commissaire civil Julien Raimond, comme le dernier général en chef Gabriel d’Hédouville, arrivé le 27 mars 1798 et reparti le 23 octobre de la même année.
Hédouville avait pour mission d’inciter discrètement Toussaint Louverture à engager son armée dans l’attaque de la Jamaïque et des États-Unis, ce que ce dernier se gardera bien d’effectuer, pour éviter de perdre tout crédit et une partie de son armée. Trois jours après son arrivée, l’armistice du 30 mars 1798 permet à Toussaint Louverture de régler les détails de la retraite de l’armée anglaise de Saint-Domingue, avant l’entrée triomphale du général noir et de son armée d’ex-esclaves dans Port-au-Prince le 6 mai 1798. L’armistice avait pour objectif les négociations par lesquelles il fut décidé que les Anglais quitteraient leur dernier bastion du nord du pays, le Môle Saint-Nicolas, le 31 août 1798. Le 31 août 1798, les Britanniques abandonnent Saint-Domingue.
Pour se débarrasser d’Hédouville, Toussaint avait alerté les Noirs du Nord. Le général ayant ordonné le désarmement des noirs, ceux-ci se révoltent le 16 octobre 1798, obligeant Hédouville à rembarquer précipitamment pour la métropole avec de nombreux blancs.
Edward Stevens fut nommé officiellement en avril 1799 consul général des États-Unis à Saint-Domingue, poste grâce auquel il renforça les relations économiques avec le régime de Toussaint Louverture, en faisant livrer l’île par des navires américains.
La fuite à Cuba de réfugiés de Saint-Domingue après l’armistice du 30 mars 1798 en voit beaucoup devenir corsaires lors de la quasi-guerre, sur fond de convention commerciale tripartite de 1799 entre Toussaint Louverture, les États-Unis et l’Angleterre, ce qui va nourrir la piraterie des années 1800 dans la Caraïbe et donne un premier coup de fouet au trafic commercial à Cuba comme le montrent les valeurs produites par le port de Cuba entre 1797 et 1801, une partie venant des prises des corsaires français attaquant les navires américains qui commerçaient avec Saint-Domingue:
Délivré de tout contrôle, Toussaint se tourne contre son rival, le chef des mulâtres Rigaud. Profitant d’un incident, il le provoque. Rigaud engage les hostilités en juin 1799. Toussaint, secondé par Jean-Jacques Dessalines et Henri Christophe vainc les troupes de son adversaire en un an.
Le 9 novembre 1799, Napoléon Bonaparte organise le coup d’État du 18 brumaire qui met fin à la Révolution française, l’incompatibilité entre la politique napoléonienne et les aspirations des révolutionnaires haïtiens va peu à peu conduire à l’indépendance de l’île.
Décidé à remettre l’économie de l’île sur pied, Toussaint publie le 12 octobre 1800 un règlement reconduisant le travail forcé des Noirs sur les plantations tel qu’il a été organisé par Sonthonax, Lavaux et Hédouville. Cela provoque de nombreux mécontentements. À la fin octobre 1801, les Noirs du Nord se révoltent, allant jusqu’à égorger les Blancs. En quelques jours, Toussaint disperse les révoltés et fait fusiller treize meneurs, dont son propre neveu, le général Moïse. Pour rallier les blancs à sa cause, il rappelle les émigrés et proclame le catholicisme religion officielle. Le 3 juillet 1801 il proclame une constitution autonomiste qui lui donne les pleins pouvoirs à vie. Loi du 20 mai 1802, proclamée par Bonaparte, qui remet en cause l’abolition de l’esclavage décrétée sous la Révolution française.
Le Fort de Joux où est mort Toussaint Louverture. Malgré les assurances de loyauté de Toussaint Louverture, Bonaparte, qui a été outré par la proclamation d’une constitution autonomiste par Toussaint et ses alliés les grands colons, se rallie aux arguments des négociants et des colons martiniquais qui veulent rétablir l’esclavage sur toutes les colonies françaises. Il profite de la paix d’Amiens pour constituer un corps expéditionnaire de 30 000 hommes avec à sa tête son beau-frère, le général Leclerc et reprendre le contrôle de l’île. Le 20 janvier 1802, l’expédition de Saint-Domingue se présente dans les ports de la colonie, ostensiblement pour punir le seul Louverture, déclaré félon. Le rétablissement de l’esclavage est encore un objectif secret. Les officiers fidèles à Toussaint résistent d’abord, en brûlant les villes portuaires et en se retirant dans les terres. Malgré quelques succès, le combat devient rapidement inégal, la population, lassée de l’autoritarisme de Toussaint, ne suit pas et certains des officiers décident de rallier le camp des Français. Le 7 mai 1802, Louverture signe au Cap-Français avec Leclerc un accord qui lui permet de prendre sa retraite sur ses terres d’Ennery en conservant son grade. Cet accord stipule notamment que l’esclavage ne sera pas rétabli sur l’île. Toutefois, par la loi du 20 mai 1802, Bonaparte autorise les territoires de la Martinique, de Tobago, de Sainte-Lucie, de l’Île Maurice et de la Réunion à ne pas appliquer les lois abolissant l’esclavage votées durant la Révolution française, ce qui va à l’encontre des principes défendus par les révolutionnaires haïtiens.
Trois semaines plus tard, Leclerc arrête Toussaint Louverture, accusé de complot et de rébellion, ainsi que sa famille. Le vaisseau le Héros les conduit alors en France. Le 25 août 1802, Toussaint est emprisonné au château de Joux, dans le Doubs, où il sera maintenu isolé et soumis à des interrogatoires répétés. Il y mourra d’une pneumonie le 7 avril 1803. Sa famille fut exilée à Bayonne, puis à Agen.
Certains de ses partisans jugés comme dangereux ou susceptibles de créer de l’agitation sont envoyés en France. Ceux qui ne sont pas assignés à résidence sont emprisonnés, notamment en Corse. Ils constituent plus tard une partie des hommes et officiers du bataillon des Pionniers Noirs.
À l’annonce du rétablissement de l’esclavage en Guadeloupe et malgré l’exil de Louverture, la révolte reprend sous les ordres de Jean-Jacques Dessalines et les Français (menés par le général Donatien de Rochambeau) doivent évacuer Cap Français en novembre 1803 après la bataille de Verrières. Dessalines proclame l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804.
Plaque commémorative au château de Joux. La mort de Toussaint Louverture garde une part de mystère. Alors qu’il est plus communément expliqué que Toussaint Louverture est mort d’une pneumonie au château de Joux dans le Doubs causée par le froid de cette région, une seconde hypothèse évoque que Toussaint Louverture serait mort d’infections dentaires. Aujourd’hui encore il est possible de visiter sa cellule au château de Joux. Tous les ans de nombreux Haïtiens font d’ailleurs ce pèlerinage dans le Doubs afin de perpétuer sa mémoire, celle du fondateur de la première République noire dans le monde.
Un lycée de Pontarlier à proximité du fort de Joux en Franche-Comté porte son nom.
Une école primaire de Clichy-la-Garenne porte son nom.
Plusieurs rues ou lycées en Haïti portent le nom de Toussaint Louverture.
Une statue l’honore à Québec, inaugurée le 8 septembre 2010, dans le « parc de l’Amérique latine » situé dans la Basse-Ville, entre le Palais de justice et la rivière Saint-Charles.
En 2003, Port-au-Prince à Haïti a renommé son aéroport international Toussaint Louverture.
Dans la fiction, un roman d’Alexandre Dumas, Les Mohicans de Paris, met en scène à Paris sous la Restauration des sociétés secrètes dont un membre a pris le pseudonyme de « Toussaint-Louverture ».
Galerie d’images Toussaint Louverture, homme politique haïtien (1743-1803) ; portrait de Nicolas Eustache Maurin, François Séraphin Delpech.
Toussaint Louverture, chef des insurgés de Saint-Domingue, 19e siècle.
Statue à l’effigie de Toussaint Louverture au Fort de Joux, offerte à l’occasion du bicentenaire de sa mort par Haïti.
Toussaint Louverture, gravure réalisée en 1825. Françoise-Elisabeth, dite Eugénie, Tripier Lefranc, née Le Brun (1797-1872)
Toussaint Louverture, gravure par H. Rousseau (designer graphique) et L.Dumont (graveur)
Le général Toussaint Louverture reçevant un général anglais
Toussaint Louverture reçoit une lettre de Napoléon
Toussaint Louverture à Saint-Domingue.
1802 : Toussaint Louverture by Charles-Yves Cousin d’Avallon, (1769-1840), (notice BNF no FRBNF30282183n).
1938: Haiti. A drama of the Black Napoleon by William Du Bois. With the New York cast. » Poster for Federal Theatre Project presentation of « Haiti » at the Copley Theatre, 463 Stuart St., Boston, Mass., showing bust portrait of Toussaint Louverture.
Portrait de Toussaint Louverture sur billet de banque haïtien.
Billet de banque, Haïti, avec portrait de Toussaint Louverture
Selon une étude du chercheur haïtien Fritz Daguillard, seuls deux portraits d’époque semblent assez proches de leur modèle. Le premier est l’aquarelle réalisée probablement d’après nature par Nicolas Eustache Maurin, reproduit en gravure par François Séraphin Delpech. L’original fut offert par Toussaint à Roume. Le second portrait a été réalisé par M.de Montfayon, ingénieur sous les ordres de Toussaint. Il a été désigné par Isaac Toussaint comme étant le seul portrait dans lequel il trouvait son père reconnaissable .Enfin, un portrait dessiné par Pierre-Charles Baquoy a été retrouvé en 1989 à Port-au-Prince, authentifié et publié par l’historien français Jacques de Cauna dans Haïti, l’éternelle Révolution et reproduit dans Toussaint Louverture et l’indépendance d’Haïti et la réédition critique des Mémoires du général Toussaint Louverture (couverture) par le même auteur.
23 juillet 1939 Amendements à la Constitution de 1935.
Vingt amendements à la Constitution de 1935 furent votés. Ils seraient ratifiés et promulgués par l’Assemblée nationale le 8 Août suivant.
23 juillet 1987 Massacre des paysans de Jean-Rabel.
A la suite d’un litige opposant des pays de Jean-Rabel (Département du Nord-Ouest), membre d’une coopérative à certains grands propriétaires terriens (grands dons), un massacre perpétré par des alliés des grands dons s’ensuivirent. Plus de 200 paysans furent tués.
23 juillet 1969 Décès de Gertrude Ida Faubert Salomon
Ida Faubert est une écrivaine haïtienne et militante féministe, née à Port-au-Prince le 14 février 1882 et morte à Joinville-le-Pont en 1969.
Née à Port-au-Prince en 1882, baptisée Gertrude Florentine Félicitée Ida, elle est la fille d’un ancien président de cette république, Lysius Salomon.
Elle résida en France de 1914 à 1969 et mourut en 1969 à Joinville-le-Pont. Elle se mêla aux mouvements féministes et fréquenta les artistes de son temps.
Poétesse au souffle chaud, connue aussi en Europe et distinguée par l’important prix Jacques-Normand qui lui a été décerné par la Société des gens de lettres, Ida Faubert qui a été définie la Marceline Desbordes-Valmore d’Haïti, à cause de l’accent passionné et tendre de ses poèmes, est aussi l’auteur de ces histoires très caractéristiques où mœurs, légendes, superstitions de son pays, sont rendues avec une sobre vigueur et un sens aigu de la couleur. (Selon Pierre Dominique).
1939 : Cœur des Îles, préface de Jean Vignaud, éditions René Debresse, prix Jacques Normand 1939
1959 : Histoires d’Haïti et d’ailleurs, « Sous le ciel Caraïbe » préface de Pierre Dominique
2005 : Œuvres aux éditions Mémoire d’encrier
DANS LE MONDE, NAISSANCES
23 juillet 1886 Naissance d’Arthur Whitten Brown
Arthur Whitten Brown est né à Glasgow en 1886. Il commence une carrière d’ingénieur avant la première guerre mondiale. Brown devient prisonnier de guerre, après avoir été descendu au dessus de l’Allemagne. Une fois libéré et de retour en Grande-Bretagne, Brown continue à développer ses talents en navigation aérienne. Pendant la visite de la firme aéronautique de Vickers, on lui demande s’il veut être le navigateur du vol transatlantique pour lequel John Alcock a déjà été choisi comme pilote.
Alcock et Brown (le capitaine John Alcock et le lieutenant Arthur Whitten Brown) sont des aviateurs britanniques, ils ont effectué le premier vol sans escale transatlantique en 1919.
Volant sur un bombardier Vickers Vimy IV, ils ont décollé de Terre-Neuve dans la fin de l’après-midi du 14 Juin 1919, et ont touché terre à Clifden, dans le Connemara en Irlande, à 8h40 le 15 Juin. Ils ont parcouru les 1 890 miles nautiques (3 500 km) en 15 heures 57 minutes, à une vitesse moyenne de 190 km/h
23 juillet 1892 Naissance de Hailé Sélassié Ier
Hailé Sélassié Ier, né à Ejersa Goro en Éthiopie et mort le 27 août 1975 à Addis-Abeba, Éthiopie, fut le dernier empereur d’Éthiopie de 1930 à 1936 et de 1941 à 1974. Il est considéré par la plupart des Rastas comme étant le « dirigeant légitime de la Terre » (Earth’s rightful ruler) et de surcroît le Messie, en raison de son ascendance qui, selon la tradition chrétienne orthodoxe éthiopienne, remonterait jusqu’aux rois Salomon et David.
23 juillet 1892 Naissance de la fédération internationale de patinage, l’ISU (International Skating Union)
L’International Skating Union (ISU), en français Union internationale de patinage (UIP), est la fédération internationale des disciplines sportives suivantes : patinage artistique et danse sur glace, patinage synchronisé, patinage de vitesse et Short-track/courte piste. Fondée à Scheveningen (Pays-Bas) en 1892, elle est une des plus vieilles fédérations internationales sportives. Le siège social de l’ISU est maintenant situé à Lausanne (Suisse).
23 juillet 1962 Naissance d’Alain Lefèvre
Alain Lefèvre est un pianiste et compositeur québécois.
Issu d’une famille de musiciens, Alain Lefèvre débute le piano à l’âge de quatre ans en France, pour le poursuivre au Québec où il immigre très jeune. Élève des Sœurs de la Congrégation Notre-Dame, il se fait vite remarquer, donnant son premier récital à six ans et remportant au fil des ans, le Premier Prix du Concours de Musique du Canada, à neuf reprises.
Virtuose dont la carrière internationale de concertiste le conduit sur les scènes prestigieuses aux quatre coins du monde, avec les grands orchestres symphoniques et chefs de renom, le pianiste montréalais Alain Lefèvre connaît aussi un immense succès comme compositeur et son dernier CD, « Fidèles Insomnies » remportait un Prix Félix à l’ADISQ en 2006. Récipiendaire de 4 autres Félix dans la catégorie du « Meilleur Album Classique de l’Année », son récent CD « Rhapsodies », comprend la première mondiale de la Rhapsodie romantique d’André Mathieu, consacrée par le BBC Music Magazine. On doit aussi à Alain Lefèvre d’avoir fait revivre avec brio le Concerto de Québec du regretté et oublié André Mathieu, lui redonnant ainsi ses lettres de noblesse et lui conférant désormais sa place incontournable au sein du répertoire romantique de la musique canadienne.
23 juillet 1973 Naissance de Monica Lewinsky, ex-secrétaire de Bill Clinton
En 1998, alors âgée de 25 ans, elle défraya la chronique lorsqu’il fut rendu public qu’elle avait eu des relations sexuelles (fellation) avec le président Bill Clinton lors d’un stage effectué à la Maison Blanche.
23 juillet 1980 Naissance de Michelle Williams
Michelle Williams, née Tenitra Michelle Williams, est une chanteuse américaine de R’n’B et de gospel. Connue pour être une des membres du trio Destiny’s Child.
C’est en 2000 que Michelle Williams rejoint le groupe, en même temps que Farrah Franklin, pour faire face au départ du groupe, de LaToya Luckett et LaTavia Robinson, mais Farrah quitte le groupe six mois plus tard. Après ces départs successifs, Beyoncé Knowles, Kelly Rowland et Michelle Williams forment désormais le super trio Destiny’s Child qui remporte de nombreux Grammy Awards (grâce à des singles comme Independent Women et Survivor).
23 juillet 1989 Naissance de Daniel Radcliffe, acteur
Daniel Radcliffe est un acteur britannique, essentiellement connu pour avoir incarné le personnage de Harry Potter dans la série de films adaptée des romans de Joanne Kathleen Rowling:
« Harry Potter and the Sorcerer’s Stone »
« Harry Potter and the Chamber of Secrets »
« Harry Potter and the Prisoner of Azkaban »)
DANS LE MONDE, DECES
23 juillet 1951 Décès de David Wark Griffith
David Wark Griffith est un réalisateur américain né le 22 janvier 1875 à LaGrange (Kentucky), mort le 23 juillet 1948 d’une hémorragie cérébrale à Hollywood (Californie).
Réalisateur prolifique, il a tourné environ 400 courts métrages en 5 ans, de 1908 à 1913 et réalisé le premier film tourné à Hollywood, In Old California. Il a également grandement fait évoluer le montage cinématographique. Il est également fondateur avec Charlie Chaplin, Douglas Fairbanks et Mary Pickford de United Artists, premier studio de cinéma indépendant (1919). Son film le plus connu est « The Birth Of A Nation », sur la toile de fond de la Guerre de sécession.
23 juillet 1973 Décès d’Edward Vernon Rickenbacker, 82 ans
Edward Vernon Rickenbacker est un as de l’aviation américaine au cours de la Première guerre mondiale. Son palmarès fait état de 26 victoires, qui lui ont mérité plusieurs décorations, dont la Médaille d’honneur. Il s’est joint en 1935 à la Eastern Airlines, dont il est devenu trois ans plus tard président et gérant général.
23 juillet 1982 Décès de Vic Morrow, 50 ans
Vic Morrow, acteur américain, perd la vie dans un accident d’hélicoptère lors du tournage du film » La Quatrième Dimension « . À la télévision, il a tenu le rôle du sergent Chip Saounders dans la série « Combat! » de 1962 à 1967.
DANS LE MONDE, EVENEMENTS
23 juillet 1952 Fête nationale de l’Egypte.
Sa capitale est Le Caire, sa langue officielle est l’arabe, sa langue parlée est l’égyptien (arabe dialectal) et sa monnaie est la livre égyptienne.
Si l’Égypte est à 94 % désertique, elle n’en abrite pas moins divers écosystèmes qui se sont adaptés à des conditions particulièrement hostiles
Côté faune, on dénombre environ quatre cent trente espèces d’oiseaux et une centaine de mammifères, au nombre desquels les dromadaires, les ânes et les gazelles… On comptait auparavant une variété extraordinaire de grands mammifères (léopards, oryx, hyènes, lynx du désert…), aujourd’hui anéantis par la chasse.
23 juillet 1829 Brevet d’invention pour la première machine à écrire par l’américain William Burt
23 juillet 1904 Apparition du cornet de crème glacé
Lors de la foire-exposition de Saint Louis (Missouri), l’américain Charles E. Menches présente sa nouvelle invention, le « cornucopia ». C’est un biscuit en forme de cône fourré de deux cuillerées de crème glacée.
Leur étonnement fut plus grand, voyant les Américains manger, ni assis, ni debout… Les femmes savouraient glacés, des sorbets et des glaces, apportés par leurs accompagnateurs, qui avaient pêché « dans des réfrigérants, maints pavés d’ice cream, la friandise de saison. Ils apportaient ces paquets, les débarrassaient de leur papier et sans cuillère attaquaient le bloc rose, blanc et brun ».
Le lendemain, la Foire ouvrit ses portes au public, qui pouvait se sustenter dans les stands de chacun des pavillons. Un immigrant de fraîche date, originaire du Moyen-Orient, Ernest A. Hamaoui, avait loué un stand, où il débitait des beignets au miel, appelés, là-bas, zalabias. Son stand jouxtait celui d’un vendeur de crème glacée qui, pour 5 cents, vendait ses glaces, sur des coupelles en carton. Et voilà que par une journée de forte chaleur, notre marchand de glace manque de coupelles et ne peut plus servir ses clients. Hamaoui a alors l’idée de faire une sorte de cône avec la pâte à beignet, pour que son voisin remplace les coupelles et que lui-même, fasse quelques affaires supplémentaires. Le public apprécia l’innovation, qui fit affluer de nouveaux clients venus spécialement pour acheter la crème glacée sous cette forme. Le cône à crème glacée venait d’être inventé !
23 juillet 1906 Passage à Québec d’automobilistes américains
Après un passage à Trois-Rivières, un groupe formé de 75 automobilistes américains s’arrête à Québec dans le cadre du Glidden Tour.
23 juillet 1932 Alberto Santos-Dumont (20 juillet 1873 à Palmira, aujourd’hui Santos Dumont – 23 juillet 1932 à Guarujá) est un pionnier brésilien de l’aviation.
Il construisit de nombreux ballons à bord desquels il vola et conçut le premier dirigeable pratique. La démonstration de son puissant aéronef plus-lourd-que-l’air le 14 Bis eut lieu dans le parc de Bagatelle près de Paris, avec un vol public, homologuant par la même le premier record du monde d’aviation, le 23 octobre 1906. Une loi des Communes autorise la conscription au Canada, conformément au référendum du mois d’avril précédent.
23 juillet 1952 Renversement de la monarchie égyptienne
Dans la nuit, l’organisation clandestine « les officiers libres » s’empare du pouvoir et renverse le roi Farouk Ier. La République est proclamée et le général Mohamed Neguib est porté à la tête du pouvoir. L’Égypte vit une crise importante depuis la fin de la première guerre israélo-arabe (1948-1949) : le roi est tenu pour responsable de la défaite face à Israël et sa soumission aux Britanniques, installés sur le canal de Suez, choque les différents courants politiques du pays. Le mouvement progressiste qui l’évince est fondé par le jeune colonel Gamal Abdel Nasser qui deviendra bientôt Premier ministre adjoint. Le roi Farouk abdiquera le 26 et s’exilera à Monaco.
23 juillet 1955 Le nageur Jacques Amyot, de Québec, réussit la première traversée du lac Saint-Jean
Jacques Amyot remporte les honneurs de la première traversée du lac Saint-Jean, une distance de 32 kilomètres entre Vauvert et Roberval. Des sept participants, le nageur québécois est le seul à compléter l’épreuve en 11 heures 32 minutes et 10 secondes.
23 juillet 1962 Le satellite de communications Telstar effectue sa première transmission trans-atlantique.
L’événement inspire le producteur britannique Joe Meek à composer la pièce instrumentale « Telstar ». L’enregistrement qu’en fera le groupe The Tornadoes plus tard dans la semaine deviendra un succès numéro 1 au classement pop du magazine Billboard.
23 juillet 1963 Neil Young tient sa première session d’enregistrement.
Neil Young prend part à sa première session d’enregistrement À Winnipeg.
Neil Young, né à Toronto le 12 novembre 1945 est auteur-compositeur-interprète et guitariste de folk, country et rock canadien. Il est devenu l’un des musiciens les plus respectés et influents de sa génération. Commercialement, son apogée se situe au début des années 1970 avec les albums After the Gold Rush et Harvest et son rôle dans le très populaire groupe Crosby, Stills, Nash & Young.
23 juillet 1967 Arrivée de Charles de Gaulle au Québec
Sainte-Anne-de-la-Pérade (Municipalité), Charles De Gaulle, (1890-1970), lors de son voyage au Québec à l’occasion de l’exposition universelle, Terre des Hommes. On le voit ici devant l’église, sur le chemin du Roy, le lundi 24 juillet 1967.
Le général de Gaulle débarque du croiseur Colbert à Québec. Il est acclamé par 5000 personnes devant l’Hôtel de ville. Après avoir écouté une messe à Sainte-Anne-de-Beaupré, il soupe avec des dignitaires au Château Frontenac et déclare assister « à l’avènement d’un peuple qui, dans tous les domaines, veut disposer de lui-même
23 juillet 1974 Record politique pour John Diefenbaker
John Diefenbaker établit un record du parlementarisme canadien en se faisant élire pour député pour une 12e fois de suite.
23 juillet 1982 Lancement du Coke Diète
23 juillet 1983 Le Planeur de Gimli
Le Planeur de Gimli est le surnom donné à l’avion impliqué dans un incident célèbre dans l’histoire de l’aviation, qui s’est produit le 23 juillet 1983, lorsqu’un Boeing 767, vol Air Canada 143, s’est retrouvé à court de carburant à 12 000 mètres au-dessus du centre du Canada et a dû planer durant 17 minutes avant de se poser à une ancienne base aérienne militaire à Gimli, dans le Manitoba. Les 60 passagers et l’équipage s’en sont tous tirés sains et saufs.
23 juillet 1984 Vanessa Williams renonce à son titre de Miss America
Vanessa Williams, la première noire à décrocher le titre de Miss America, devient la première gagnante de ce titre à abandonner sa couronne lorsqu’on révéla qu’elle avait posé nue, avec une autre femme, pour le magazine Penthouse. Elle connaît aujourd’hui beaucoup de succès comme chanteuse.
23 juillet 1986 Le prince Andrew épouse Sarah Ferguson à Westminster Abbey à Londres.
Le prince d’York, Andrew (26 ans), troisième enfant de la reine Elizabeth II, épouse Sarah Ferguson (27 ans) à l’Abbaye de Westminster. Sarah n’est pas une inconnue de la famille royale puisque son père n’est autre que l’entraîneur de polo du prince Charles. La Grande-Bretagne conquise par la spontanéité et la bonne humeur de la nouvelle duchesse d’York se réjouit de cette union. Le couple princier aura deux enfants. Il se séparera en 1992.
L’événement est regardé par 300 millions de personnes à travers le monde.
23 juillet 2004 Détruit lors de la guerre, un pont historique inauguré en Bosnie
La Bosnie se prépare à inaugurer un pont historique, détruit lors de la guerre qui a ravagé le pays dans les années 1990. Classé patrimoine mondial par l’Unesco, le Vieux Pont de Mostar s’est effondré en novembre 1993, détruit par l’armée croate. Le nouveau Pont de Mostar, identique à l’ancien, est un symbole visant à faire renaître l’harmonie entre les différentes ethnies du pays.
Héritage de la tradition byzantine, le pont initial avait été construit en 1566.
23 juillet 2006 La représentante de Porto Rico, Zuleyka Rivera a été élue Miss Univers 2006 à Los Angeles. Cinquième couronne pour l’île caraïbe pour un concours de beauté.
23 juillet 1927 Inauguration en Allemagne des premiers logements en préfabriqués.
23 juillet 1993 Divorcé après 6 heures de mariage
Après seulement six heures de mariage, Frank « The Chief » Colbert, 69 ans, obtient son 27e divorce.
Son plus long mariage, le deuxième, aura duré 22 ans et quatre enfants sont nés de cette union.
Image: http://www.lemirada.org
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