144 milliards de gourdes: prévision budgétaire pour l’exercice fiscal 2017-2018

Source Samuel Celiné | Le Nouvelliste

Le ministre de l’Économie et des Finances Jude Alix Patrick Salomon a déposé ce vendredi 30 juin 2017 le projet loi de finance 2017-2018 à la Chambre des députés. Le président de la Chambre basse Cholzer Chancy, qui a reçu le document, propose de faire de son mieux pour porter les députés du peuple à tenir séance d’ici la semaine prochaine afin de permettre au ministre de l’Économie et des Finances de présenter l’exposé des motifs de ce projet de budget.

En déposant, ce vendredi 30 juin 2017, le projet de loi de finances 2017-2018 à la Chambre des députés, « le gouvernement ne fait que répondre à une exigence de la Constitution qui, dans son article 111-2, fait de la Chambre basse la porte d’entrée du budget», a souligné d’entrée de jeu le président de la Chambre basse, Cholzer Chancy qui, accompagné du président de la commission Économie, Finances et Budget de cette chambre Yvon Geste, a reçu le projet de loi de finances 2017-2018 du ministre Jude Alix Patrick Salomon.

Ce document prévoit un budget de 144 milliards de gourdes selon les dires du ministre de l’Économie et des Finances, soulignant que des secteurs tels que les travaux publics, l’agriculture et l’éducation sont les axes prioritaires du gouvernement dans le cadre de ce projet de budget. « Les travaux publics ont une bonne part du budget, pourquoi ? Vous voyez l’état de nos routes et nous avons besoins de faire des maillages routiers très importants, ensuite vient le ministère de l’Agriculture », dévoile le grand argentier de la République qui rappelle que, l’éducation se trouve en 3e position parmi les secteurs qui se sont taillé la part du lion dans le projet de budget.

Sur ce point, Jude Alix Patrick Salomon se veut clair : « Il y a un ministère que personne n’aurait supposé qui a une importance significative mais pour une autre raison : c’est l’Éducation nationale, et pour prendre cette décision, nous avons l’appui des parlementaires qui sont conscients qu’il y a un problème de salaire marquant dans ce secteur. Les instituteurs avaient un salaire de misère et nous nous sommes entendus avec les syndicats pour augmenter graduellement le salaire de ces enseignants », a lancé le ministre, avant d’annoncer que cette augmentation sera faite par étapes variant d’une année à une autre.

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