Haïti – Politique : Moïse au premier Forum de la Jeunesse, met en garde !

Source HL/ S/ HaïtiLibre

Samedi dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale de la Jeunesse, le Président Jovenel Moïse, accompagné de son épouse et du Premier Ministre, Jack Guy Lafontant, a participé au premier Forum de la jeunesse, organisé par la Mairie des Cayes, autour de la santé mentale, des problèmes de l’éducation, de l’emploi, de la famine, de la pauvreté, de la santé et de l’environnement.

En présence du Maire de la Ville des Cayes, Gabriel Fortuné, des Ministres Roosevelt Bellevue (Affaires Sociales), Mme Régine Lamur (Jeunesse), des Sénateurs du Sud, Hervé Fourcand et François Sildor, des membres de la Commission d’innovation et d’intégration socioprofessionnelle de la jeunesse http://www.icihaiti.com/article-21773-icihaiti-politique-investiture-de-la-commission-pour-l-insertion-socio-professionnelle-des-jeunes.html de diplomates internationaux et de plusieurs centaines de jeunes, le Chef de l’Etat s’est adressé aux jeunes d’Haïti, affirmant reconnaître « leurs angoisses, leurs inquiétudes face à l’avenir, leurs soucis matériels mais aussi l’immensité de leurs talents, leur générosité et leur spontanéité ».

Plaidant pour une valorisation de la capacité et des talents des jeunes du pays. Il a mis en garde tous ceux qui tentent par la manipulation, d’ôter la fierté des jeunes, leur orgueil national et leur amour de la terre d’Haïti « Je dis qu’ils ont fait fausse route. Ils ont tort de vous avoir fait croire que l’avenir est ailleurs. Ils se sont fourvoyés de n’avoir pas su mettre en valeur ce que nous sommes, de vous avoir laissé pour seul et unique horizon l’émigration ou l’exil » a poursuivi Moïse qui croit que c’est par la jeunesse que les haïtiens peuvent savoir d’où ils viennent, où ils sont et où ils vont, convaincu que le succès d’Haïti, dépend de la place que la société consacre à sa jeunesse dans la fabrication de l’avenir commun

Le Maire des Cayes, Gabriel Fortuné, a affirmé qu’Haïti ne peut pas exister sans les jeunes, que l’avenir du pays, du Sud et des Cayes dépend d’eux et qu’il revient aux aînés le devoir de transmission des valeurs aux jeunes. Il a profité …………………….…lire la suite sur haitilibre.com

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